Saint Louis de Montferrand Ambès Secteur pastoral d’Ambarès 1, rue Victor Hugo 33440 AMBARÈS 05 56 38 84 52 [email protected] http://bordeaux.catholique.fr/secteur-pastoral-dambares Père Pierre PROTOT, curé Père François THOUVARD et Jean-Paul GRANGER, diacre Ambarès Saint Vincent de Paul Lundi : 14 h 30 - 17h30 Mardi /Vendredi : 9h30 - 12h00 et 14h30 - 17h30 Samedi : 9h30 - 12h00 n°30 Pâques 2015 Les cloches ont sonné pour inviter les catholiques à se rassembler pour la plus grande fête de l’année, Pâques ! Tandis que commence la chasse aux oeufs dans les jardins… Mais comment expliquer le sens chrétien du jour de Pâques aux enfants et aux plus petits ? En les invitant à la messe et en évoquant quatre symboles de la vie plus forte que la mort : L'oeuf Autour de toi, le jardin se réveille, les fleurs sortent de terre. C'est la vie qui reprend après le sommeil de l'hiver. Dans l'oeuf aussi, la vie se prépare. Si l'oeuf est couvé, un poussin peut sortir. Un oeuf qui éclot, c'est la vie qui naît. A Pâques, Jésus lui, après sa mort, sort vivant du tombeau : C'est pourquoi on offre à Pâques des oeufs décorés, signe de vie, aux gens qu'on aime. Le carillon de la cloche Le vendredi saint, jour où l'on se rappelle la mort de Jésus sur la croix, les cloches se taisent. C'est un moment grave, on reste dans le silence de la prière. Mais le jour de Pâques, on fête joyeusement Jésus ressuscité. Les cloches carillonnent pour annoncer cette bonne nouvelle. Le cierge allumé Quand on est dans le noir, on cherche la lumière. Une bougie ou une lampe allumée, cela rassure. On n'a plus peur. La nuit de Pâques, on allume le cierge Pascal, signe de Jésus ressuscité : sa lumière jaillit dans la nuit : et chacun allume un cierge à cette lumière du cierge Pascal dans l'obscurité de l'église. Et toutes ces lumières rassemblées sont signe que nous croyons que la vie éternelle promise par Jésus est plus forte que toutes nos ténèbres et toutes nos peurs. Le linge blanc C'est la couleur de la Résurrection. Après la mort de Jésus, on a placé son corps au tombeau. Quand, trois jours après, ses amis viennent voir, le corps n'y est plus. Seul reste un linceul blanc et un personnage mystérieux vêtu de blanc. Il leur dit que Jésus n'est plus ici. Il est ressuscité, vivant pour toujours. C’est pourquoi Pâques est la fête de la vie, chantons Alleluia ! Que s’est-il passé depuis Noël ? Nous étions 90 dont 45 jeunes de la paroisse et enfants du patronage, à partir sur les pas de Jeanne à Landiras le samedi 31 janvier. Sœur Colette, soeur de la Compagnie Notre Dame, fondée par sainte Jeanne de Lestonnac nous a fait partager avec beaucoup de saveur la vie de Jeanne de Lestonnac : ici dans le bâtiment aménagé dans le château de Landiras, avec des tableaux de la vie de notre sainte. Jean-Paul et deux enfants du patronage dévoilent la bannière du patronage à l’effigie de Jeanne Deux sœurs de la Compagnie Notre Dame, et des habitants de saint Louis Dans l’église de saint Louis de Montferrand, le dimanche 1er février il y avait foule ! Au premier rang, le nouveau maire, Madame Josiane Zambon, qui a grandement contribué avec toute l’équipe de la municipalité à la réussite de cette journée, et l’ancien maire Pierre Soubabère, pour la bénédiction de la statue de Jeanne par le Cardinal Ricard venu pour la circonstance et qui a donné un témoignage personnel pendant l’homélie, qui a particulièrement touché les jeunes. Le Père Bernard Peyrous, historien et ancien curé de notre secteur, a clôturé la fête après un apéritif royal et un déjeuner tiré du sac par une conférence très appréciée sur Jeanne de Lestonnac : son message en son temps et pour aujourd’hui. Pour la troisième année consécutive, et en communion avec l’initiative du Pape François, 24h pour Dieu, la journée du pardon a permis de prier et de pouvoir se confesser de 8h du matin à 22h. Nombreux sont ceux qui ont profité de cette occasion pour rencontrer la miséricorde du Seigneur. Une méditation sur le message de carême du pape François, préparé par le Père Pascal Fagniez était proposé pour se préparer à la confession. Dès 8 heures un père de famille venait avant de partir à son travail. Puis dans la matinée, une vingtaine de personnes avait déjà reçu le sacrement de réconciliation et prié dans l'église, ou visionné le témoignage de pardon d'une femme victime du génocide des khmers rouges au Cambodge, Claire Ly, bouddhiste devenue catholique à partir de son expérience humaine et du message chrétien sur le sens du mal. Vers 17h , la SNCF (Service Nouveau des Confessions Facilitées) avait affrété trois prêtres pour l'heure de pointe : enfants du catéchisme et adultes se sont pressés pour recevoir le pardon de Jésus... Le soir on dénombrait environ 120 lumignons attestant la lumière du Seigneur venue pour ceux qui l'ont demandée...Deo gratias ! Merci Seigneur ! SONT PARTIS VERS LA MAISON DU PÈRE En janvier : Jacques AURIOLES, Raymonde MALAGUTI, Jean-Michel PINARD, Rose LAURO, Andrée CHEVALIER, Marguerite LAPEYRE, Fernand FONDEVIOLLE, Louise DUCHAMPS, Reine BEL En février : Ghila DUBOIS, Marguerite VAQUIER, André HUBER, Jean-Pierre PELLETAN, Jacques BLANCHARD, Yvonne BELLAVOINE, Jacques TIZON En mars : Georges CAMP, Yvette SIMON, Christiane DUPOUY, Emanuel CALVARUSO, Bernard GUSMINI, Charles THOMAS ONT ÉTÉ BAPTISÉS : En février : Victor GUIBERT, Louise CHABRERIE SONT PARTIS VERS LA MAISON DU PÈRE : En février : Marie-Yvette GLEMET, Louisette GONTHIER, Gérard ROBINEAU En mars : Colette MOTHU, Jeanne DOUZIECH ONT ÉTÉ BAPTISÉS : En mars : Calista et Livia ANDRE-ELGUETA, Tiago LASSERRE SONT PARTIS VERS LA MAISON DU PÈRE : En janvier : Richard MOUCHAGUE, Simone CAZEAUX En février : Jeanne MORPAIN, Joël TOULMET En mars : Daniel BLASQUEZ A noter sur les agendas : Dimanche 26 avril : célébration des confirmations d’adultes à la cathédrale à 16h : 18 adultes de notre secteur recevront le sacrement de confirmation. Pèlerinage en Pologne sur les pas de Saint Jean-Pual II, Sainte Faustine, Saint Maximilien Kolbe : 75 pèlerins des secteurs de Carbon-Blanc/ Bassens et Ambares partent en pèlerinage. Dimanche 10 mai : kermesse paroissiale à Ambares de 10h à 18h Dimanche 31 mai : professions de foi à Ambares à 11h Samedi 6 juin et dimanche 7 juin : 44 premières communions d’enfants de nos paroisses et de l’école Saint Pierre et Saint Michel Dimanche 28 juin : ordinations à la cathédrale de Bordeaux : Jean-Paul Granger, notre diacre, pourrait faire partie des prêtres ordonnés : nous prions à cette intention… PAPE FRANÇOIS AUDIENCE GÉNÉRALE Mercredi 25 mars 2015 Chers frères et sœurs, bonjour! Sur notre chemin de catéchèses sur la famille, nous effectuons aujourd’hui une étape un peu particulière: ce sera une halte de prière. En effet, le 25 mars, nous célébrons solennellement dans l’Eglise l’Annonciation, début du mystère de l’Incarnation. L’archange Gabriel rend visite à l’humble jeune fille de Nazareth et lui annonce qu’elle concevra et mettra au monde le Fils de Dieu. Avec cette Annonce, le Seigneur illumine et renforce la foi de Marie, comme il le fera ensuite pour son époux Joseph, afin que Jésus puisse naître dans une famille humaine. Cela est très beau: cela nous montre à quel point le mystère de l’Incarnation, tel que Dieu l’a voulu, comprend profondément non seulement la conception dans le sein de sa mère, mais aussi l’accueil dans une véritable famille. Je voudrais aujourd’hui contempler avec vous la beauté de ce lien, la beauté de cette condescendance de Dieu; et nous pouvons le faire en récitant ensemble le Je vous salue Marie, qui dans la première partie reprend précisément les paroles de l’Ange, celles qu’il adressa à la Vierge. Je vous invite à prier ensemble: «Je vous salue Marie, pleine de grâce; Le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes Et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, Priez pour nous, pauvres pécheurs, Maintenant, et à l'heure de notre mort. Amen». Et à présent un deuxième aspect: le 25 mars, solennité de l’Annonciation, on célèbre dans de nombreux pays la Journée pour la vie. C’est pourquoi, il y a vingt ans, saint Jean-Paul II signa à cette date l’encyclique Evangelium vitae. Pour rappeler cet anniversaire sont aujourd’hui présents sur la place de nombreux adhérents au Mouvement pour la vie. Dans Evangelium vitae la famille occupe une place centrale, dans la mesure où elle est le sein de la vie humaine. La parole de mon vénéré prédécesseur nous rappelle que le couple humain a été béni par Dieu dès le début pour former une communauté d’amour et de vie, à laquelle est confiée la mission de la procréation. Les époux chrétiens, en célébrant le sacrement du mariage, se rendent disponibles à honorer cette bénédiction, avec la grâce du Christ, pour toute la vie. L’Eglise, quant à elle, s’engage solennellement à prendre soin de la famille qui en naît, comme don de Dieu pour sa vie elle-même, dans la joie comme dans la peine: le lien entre Eglise et famille est sacré et inviolable. L’Eglise, comme mère, n’abandonne jamais la famille, même quand celle-ci est avilie, blessée et mortifiée de nombreuses manières. Pas même quand elle tombe dans le péché, ou bien qu’elle s’éloigne de l’Eglise; elle fera toujours tout son possible pour chercher à la soigner et la guérir, pour l’inviter à la conversion et la réconcilier avec le Seigneur. Et bien, si cela est sa tâche, il apparaît clair à quel point l’Eglise a besoin de prière pour être en mesure, à chaque époque, d’accomplir cette mission! Une Eglise pleine d’amour pour la famille et pour la vie. Une prière qui sait se réjouir avec qui se réjouit et souffrir avec qui souffre. Voilà alors ce que, avec mes collaborateurs, nous avons pensé proposer aujourd’hui: renouveler la prière pour le synode des évêques sur la famille. Nous relançons cet engagement jusqu’en octobre prochain, quand aura lieu l’assemblée synodale ordinaire consacrée à la famille. Je voudrais que cette prière, comme tout le chemin synodal, soit animée par la compassion du Bon Pasteur pour son troupeau, en particulier pour les personnes et les familles qui pour diverses raisons sont «fatiguées et abattues comme des brebis sans berger» (Mt 9, 36). Ainsi, soutenue et animée par la grâce de Dieu, l’Eglise pourra être encore davantage engagée, et encore plus unie, dans le témoignage de la vérité de l’amour de Dieu et de sa miséricorde pour les familles du monde, sans exclusion, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur de la bergerie. Je vous demande s’il vous plaît d’assurer de votre prière. Tous — le Pape, les cardinaux, les évêques, les prêtres, les religieux et les religieuses, les fidèles laïcs — nous sommes tous appelés à prier pour le synode. C’est cela qui est nécessaire, pas les bavardages! J’invite également à prier ceux qui se sentent loin, ou qui ne sont plus habitués à le faire. Cette prière pour le synode sur la famille est pour le bien de tous. Je sais que ce matin une petit image vous a été donnée, et que vous la tenez entre vos mains. Je vous invite à la conserver et à la porter avec vous, de manière à ce qu’au cours des prochains mois, vous puissiez la réciter souvent, avec une sainte insistance, comme nous l’a demandé Jésus. A présent, nous la récitons ensemble: Jésus, Marie et Joseph en vous nous contemplons la splendeur de l’amour véritable, à vous nous nous adressons avec confiance. Sainte Famille de Nazareth, fais aussi de nos familles des lieux de communion et des cénacles de prière, des écoles authentiques de l’Evangile et des petites Eglises domestiques. Sainte Famille de Nazareth, que jamais plus dans les familles on ne fasse l’expérience de la violence, de la fermeture et de la division: que quiconque a été blessé ou scandalisé connaisse rapidement consolation et guérison. Sainte Famille de Nazareth, que le prochain synode des évêques puisse réveiller en tous la conscience du caractère sacré et inviolable de la famille, sa beauté dans le projet de Dieu. Jésus, Marie et Joseph écoutez-nous, exaucez notre prière. Amen.
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