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Laurent PERNEL
Bliss krieg
- Atlas Exposition du 21 Mars au 09 Mai 2015
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Bliss krieg
- Atlas -
Pour cette nouvelle exposition, et à l’occasion de son premier solo à Paris,
Laurent Pernel, artiste français formé à l’École des Beaux de Lyon, nous fait
découvrir un ensemble de dessins, photos et vidéo totalement inédit.
Sa dynamique de production se fondant habituellement sur l’alternance entre
divers médiums et rythmes d’action, les glissements et rapports d’échelles entre ses
pratiques -de la main au corps, la maquette à l’architecture, l’individu au politique,
la carte au paysage- traversent cette exposition qui réunit six grands dessins sur
papier, un corpus de quatre-vingt neuf dessins présentés en vidéo, une photographie
et un livre d’artiste.
Vues d’exposition «B l i s s K r i e g - A t l a s - » - 2015 , Galerie Houg, Paris (©Phoebe Meyer)
Vues d’exposition «B l i s s K r i e g - A t l a s - » - 2015 , Galerie Houg, Paris (©Phoebe Meyer)
Vue d’exposition «B l i s s K r i e g - A t l a s - » - 2015 , Galerie Houg, Paris (©Phoebe Meyer)
L’atlas alternatif de Laurent Pernel
La nouvelle exposition de Laurent Pernel à la Galerie Houg vient ponctuer une intense période de travail. En
résidence à Montréal en 2012, il réalise Topographie, Pas de deux et Map is a drawing, une trilogie vidéo dans
laquelle on retrouve ses intérêts pour l’action dans l’espace public et l’usage du bricolage comme révélateur du paysage
urbain. Il entame ensuite le tournage d’un film à Bucarest en collaboration avec Phoebé Meyer. Cette prédominance du
travail de montage motive peut-être son besoin de revenir à la pratique du dessin, sa dynamique de production se
fondant habituellement sur l’alternance entre divers médiums et rythmes d’action. Les glissements et rapports d’échelles
entre ses pratiques - de la main au corps, la maquette à l’architecture, l’individu au politique, la carte au paysage
- traversent cette exposition qui réunit six grands dessins sur papier, un corpus de quatre-vingt neuf dessins
présentés en vidéo, une photographie et un livre d’artiste.
Pour saisir le territoire dessiné par ces oeuvres, il est utile d’en raconter l’histoire. Après la série Burn Out
réalisée par pyrogravure sur papier, Laurent Pernel cherche à libérer son geste et à s’affranchir d’un rapport
pointilleux à la représentation. Il commence par préparer les fonds d’un paquet de feuilles en y appliquant un
lavis bleu et vert (couleurs génériques du paysage) à travers de la dentelle. Cette recherche de «fond» n’a rien
d’anodin si l’on considère la polysémie du terme. Avant même d’en venir au trait, il construit une boîte pour les
contenir. Un rapport d’intimité s’engage avec cet ensemble d’ores et déjà indissociable, qu’il nommera bientôt Les
dessins en colère. Il s’agit de développer une pratique d’atelier libératrice, un exutoire quotidien par rapport à son
environnement, une méthode pour laisser surgir l’inconscient et s’autoriser à «ré-agir», la post-production prenant
d’ailleurs progressivement le pas sur l’action enregistrée dans son travail. Au fil des pages et selon l’émotion du moment,
diverses formes et techniques se déploient. Des mots apparaissent aussi, formulant une syntaxe chaotique. Cette
série est bavarde, tout au moins bruyante, elle constitue une sorte de partition qui n’aurait pas pu être montrée
autrement que sous cette forme de manipulation filmée. Le vocabulaire qui s’y décline prend source dans la banque de
données constituée par l’artiste (carnets de croquis, collecte d’images, coupures de presse, objets ramassés, enveloppes
électorales volées…). Ses lectures* viennent également nourrir la recherche, en particulier son intérêt pour le
mouvement de «cartographie radicale» s’inscrivant dans la lignée des géographes radicaux apparus dans les années
1960 aux Etat-Unis et se réclamant du situationnisme. D’où le terme «Atlas», sous-titre de l’exposition. Rappelons
au passage qu’au-delà du recueil cartographique ou botanique, ce mot désigne la première vertèbre cervicale qui
supporte la tête, en référence au géant de la mythologie condamné par Zeus à porter la voûte céleste sur ses épaules.
On peut aussi penser à l’Atlas Mnémosyne d’Aby Warburg.
Durant la constitution du corpus de dessins, Laurent Pernel éprouve également le besoin de
déployer l’expérience sur grand format, passant ainsi d’un geste mesuré à un engagement physique. Par diverses
techniques (gifles de peinture, fusain frotté, griffonnage au stylo bille, pliage), il compose des images énigmatiques, en
équilibre précaire, voire en ruine, comme l’enseigne Univer ayant perdu son s ou le point levé de Vilvoorde 3100 en
souvenir de la lutte déçue des ouvriers Renault.
Bien qu’éloignés formellement, Les dessins en colère, la photographie Marianne #2 et l’édition Carne ont en
commun une manière de convoquer avec force et humour notre rapport au corps, à la mémoire et au langage. Lors de
la dernière campagne présidentielle, Laurent Pernel lance un appel pour collecter plusieurs centaines de professions
de foi électorales. Chaque document est composé d’un portrait photographique du candidat et du texte de campagne.
En les analysant, il est frappé par le reflet des stratégies politiques sur le graphisme et la composition des images,
rides gommées ou maquillage chargé pour certains, lumière naturelle pour d’autres, symbolique des fonds sur lesquels
sont incrustés leurs visages, etc. Il décide d’insérer au creux de chaque double page une vue rapprochée de son propre
corps, un fragment de peau nue, poilue, sans artifice. Se crée alors une relation étonnante entre les discours, les
portraits et la chair de l’artiste. Puis les feuillets sont reliés par une couture manuelle au fil rouge, seconde signature
personnalisée transformant ces outils de communication de masse en objets précieux.
D’une manière générale, le rapport au corps est fondateur dans le travail de Laurent Pernel, qu’il s’agisse de son
implication physique ou de la capacité de ses oeuvres à convoquer le corps du spectateur. Dans L’image survivante.
Histoire de l’art et temps des fantômes selon Aby Warburg, Georges Didi-Huberman analyse l’hypothèse de Warburg
selon laquelle la puissance de transmission des images résiderait dans leur pouvoir d’incorporation, c’est-à-dire leur
propension à impliquer de manière empathique le corps du regardeur.
Pour reprendre les mots de l’artiste, ses derniers travaux sont empreints d’une forme de «pessimisme raisonné». Il
ne s’agit pourtant pas de résignation, puisqu’en mettant sa colère en oeuvre, en recyclant les promesses électorales ou en
construisant de nouvelles images sur des ruines, il développe sa réactivité productive, comme l’indique le titre
Bliss Krieg que l’on pourrait littéralement traduire par «guerre du bonheur». Un glissement sémantique de la
stratégie offensive Blitzkrieg vers l’image du bonheur selon Windows. La cartographie subjective que nous propose
Laurent Pernel trace des frontières symboliques - entre fond et forme, théorie et pratique, intérêts économiques et
désirs individuels, discours politique et corps social - délimitant une géographie alternative, où l’histoire intime et
l’histoire collective se rejoignent.
* Lectures récentes : Eloge des frontières, Régis Debray ; Peuples exposés, peuples figurants, Georges Didi-Huberman ; Le Capital, Karl Marx ; articles d’Hervé
Le Bras, démographe ; articles de Philipe Rekacewicz, cartographe et journaliste pour Le Monde diplomatique.
texte de Lélia Martin-Lirot _ coordinatrice de Documents d’Artistes Rhône Alpes
Mars 2015
U n i v e r s - 2015
acrylique et encre sur papier
110 x 80 cm
P u b l i q u e F r a n ç a i s - R é p u b l i q u e F r a n ç a i s e - 2015
acrylique, enveloppes de vote collées sur papier millimétré
50 x 65 cm
M a r i a n n e # 2 - 2015
C-print contrecollé sur dibond
30 x 40 cm
édition de 3 exemplaires
Autres projets réalisés avec la Galerie Houg
Vues de l’exposition V a n i s h i n g P o i n t , Galerie Houg - Lyon Fr, 2014
Bowindow
Installation sur l’ancien bâtiment des Douanes de Lyon, Biennale d’art contemporain de Lyon 2011
Vues de l’exposition B u r n O u t , Galerie Houg - Lyon Fr, 2011
Dessins
G r i l l e # 2 - 2012
Encre et dessin en réserve
65 x 50 cm
C h i m i e - 2012
Contretype de dentelle, aquarelle, encres sur papier
50 x 32 cm
Burn Out
126 dessins à la pyrogravure sur papier
dimensions variables, 2011
Installations in situ
Monument 1, Stonehenge
vue de l’installation à Montbéliard, 2010
série de 6 photographies installée sur du mobilier urbain
Installation : dimensions variables - Photographies : 120 x 180 cm chacune
L’ i m a g e d e s c h o s e s
Installation centre d’art La Halle, 2009
Glasnost
Installation au centre d’art Espace Vallès, Saint-Martin-d’Hères, 2009
LILIPUT
projet de mise en lumière de l’espace public, 2007
Copier / Coller
Installation au centre d’art BF15, 2007
couverture de survie et scotch double face
VIDÉOS
Finnland
7.34 min, 2011
Finnland est né d’une rencontre lors d’une résidence artistique à Fiac, dans le
Tarn, en 2011. Chaque artiste invité, était accueilli par une famille. Le premier matin, au petit déjeuner, un adolescent apparaît timidement. C’est Finn, chevelure
abondante, visage d’ange. Un feeling qui s’installe entre l’artiste et l’enfant à coups
d’échanges brefs, entre céréales, œufs à la coque et thé. Une proposition de faire
un film ensemble et une réponse : «oui, je pense que c’est une bonne idée ». Ce
sera Finnland. Un film dont la trame se déploie autour de ce jeune adolescent. Le
silence de la campagne rendant perceptible l’épreuve de son isolement. Seules les
notes de sa guitare et le moteur pétaradant de son quad, viennent témoigner de
sa présence. L’adieu à l’enfance passera par la révolte adolescente, mais aussi par
le gouffre de sa solitude.
Plan your escape
9 min, 2009
Édition de 3 + 1EA
Cette vidéo livre la mesure de l’action réelle du travail : donner au spectateur les moyens de
voir toujours autre chose que ce qui est représenté. L’homme de haute montagne grimpe, sur
son dos, point de lumière aveuglant, un miroir circulaire et plan. Puis son corps s’immobilise,
révélant en plan fixe l’horizon retourné et hors-champ de la montagne derrière la caméra où
nul corps ne se tient dans le visible.
Son montage enchaîne des scènes filmées dans le paysage réel et dans celui reconstitué à
l’intérieur du centre d’art de la Halle à Port-en-Royans. Autour de son acteur principal
(le grimpeur), il n’est mobilisé par aucune trame narrative en dehors de celle annoncée
par le titre. Mais l’échappée, trop fragmentée, s’épuise dans son échafaudage. Le film tente
d’entreprendre un sujet mais à l’image du grimpeur immobilisé dans le filet du hamac, il reste
prisonnier de ses illusions.
Topographie
27 min 30 sec, 2012
Édition de 3 +1EA
Ces deux films réalisés à 10 ans de distance nous parlent de déplacement, d’architectures et du paysage. Au
même titre que les peintres impressionnistes travaillaient sur le motif, ici la caméra est au cœur du paysage qui se
transforme sous nos yeux. La surface d’une vitre, ou d’un miroir devient alors la zone sensible sur laquelle un jeu
de ligne, et de masquage vient recomposer le cadrage initial. Un vocabulaire de forme, de couleur et de matériaux
sont à la base d’un ensemble de geste nous révélant les choses les plus simples qui nous entourent.
Bien que ses vidéos reprennent les procédés de création de l’image numérique, la pratique de Laurent Pernel cultive
pourtant une approche «low tech» ou « low made », qui prend à rebours les interfaces high-tech qui ont envahi notre
quotidien pour mieux le qualifier. Ces petites vidéos contiennent en elles l’approche de l’artiste : elles infiltrent
entre nous et le monde un écran qui ne le désigne pas mais le trouble, le complexifie pour signaler, sans rien en
dire, un espace possible.
Fait Main
22 min, 2001
Édition de 3 +1EA
Curriculum Vitae
Moments de travail dans le flux de la circulation, chaque intervention, loin d’être des performances, sont à mes yeux des actions qui interrogent ma relation au cadre bâti de la ville et de
sa puissante détermination sur mon (notre) quotidien.
C’est parfois au travers du sport et dans un mode d’apparition burlesque que j’utilise l’infrastructure des villes comme terrain de jeux du possible.
Parallèlement à ce type d’activité brève et radical, des opportunités de travail me permettent
de mettre en place des projets spécifiques pour le lieu qui me reçoit, on peut alors parler de
travail « in situ ». Le choix de matériaux et son mode d’utilisation (son détournement) vont
agir sur l’espace et en modifier sa perception pour mieux nous leurrer.
Moments of work in the flow of circulation, each intervention, far from being performances,
are in my eyes of the actions which question my relation with the framework built of the city
and its powerful determination on my (our) daily.
It is sometimes through the sport and in a burlesque mode of appearance that I use the infrastructure of the cities as play-ground of the possible one.
Parallel to this type of activity short and radical, of the work appropriateness specific projects
for the place enable me to set up which receives me, one can then speak about work “in situ”.
The choice of materials and its mode of use (its diversion) will act on space and will modify of
it its perception for better deluding us.
Né en 1973 à Cucq.
EXPOSITIONS SOLO
2014 - Vanishing Point, Galerie Houg, Lyon-Fr
2013 - Finnland, Galerie Houg / Project Room, Paris-Fr
2011 – Bowindow, Installation d’une oeuvre à la Sucrière sur le bâtiment des Douanes, en Résonance avec la Biennale d’art contemporain de Lyon et en partenariat avec Olivier Houg Galerie,
Lyon
- Burn Out, Olivier Houg Galerie, Lyon
2010 – Collision, Galerie d’art des lycées de la Borde Basse et le Centre d’art le LAIT, Castres - Monument 1, Stonehenge, Centre d’art Le 19, Montbéliard. Oeuvre dans l’espace public dans le cadre
de l’ANRU (Agence Nationale pour le Renouvellement Urbain)
2009 – Game Over, Le Flac, www.leflac.fr
- Glasnost, Espace Vallès, Saint-Martin-d’Hères
- L’image des choses, La Halle, Pont-en-Royans
2007 – Copier/coller, La BF15, Lyon
2005 – Gezichtwerpen, Galerie Roger Tator, Lyon
2003 – Great Pink Rock, Galerie In and Out, Grenoble – Dans le cadre des Galeries Nomades avec
le soutien de l’Institut d’Art Contemporain Villeurbanne / Rhône-Alpes
2002 – Fin de Chantier, Les Subsistances, Lyon
EXPOSITIONS DE GROUPE
2014 - Suprême (performance), projection vidéo, programme «Contrechamp», Le Cinématographe,
Nantes
2013 - Carne Vale, Fluxfactory, New York
- Drawing Now - Le salon du dessin contemporain, représenté par la Galerie Houg, Carrousel du
Louvre, Paris
- IZI, Frac Languedoc-Roussillon, Montpellier
2012 - Exposition de Noël, Le Magasin-CNAC, Ancien musée de peinture, Grenoble
2011 – 2 cm mehr / 2 cm de +, Centre d’art Le Lait, Albi
- Anarchisations, Conspire aujourd’hui / Inspire demain, FIAC+ si Affinités, Tarn
- I see the sea, and the sea sees me, avec Christine Laquet, La Plate-Forme, Dunkerque
- Plutôt que rien : démontages, Maison populaire, Montreuil
2010 – Aller à Ouessant, Sémaphore du Créac’h, Ouessant
- Tri-séléctif, Les palissades, P10, Centre culturel Onyx, Saint Herblain – Intervention réalisée en
collaboration avec Christine Laquet.
2009 – Chronique Urbaine, Centre d’art contemporain le 19, Montbéliard
- Loops Barcelona, Barcelone, Espagne, Galerie Olivier Houg
2008 - Superflux 08, Galerie Roger Tator, Lyon
- Vidéosalon 3, Galerie 10m3, Sarajévo, Croatie
2007 – Superflux, Galerie Roger Tator, Lyon
2006 – Anatopies les lieux décalés, Centre d’art le LAIT, Albi et Castres
- Mirages, Fort Victor-Emmanuel – Invitation de l’Institut d’art contemporain Villeurbanne /
Rhône-Alpes et de l’Agglomération de Modane
2005 – Just what is it that makes today’s homes so different, so appealing ?, Les Subsistances, Lyon
- Ouest, épisode 1, Musée Géo-Charles, Echirolles
- Paramour, Galerie Olivier Houg et Georges Verney-Carron, Espace 45, La sucrière, Lyon
2004 – Territoires, Villa du Parc, Annemasse – Travail réalisé en collaboration avec Phoebé Meyer
2003 – Augurales, Centre d’Art Contemporain de Brétigny sur Orge
- Happy-end, La Caserne, Pontoise – Réalisation en collaboration avec Christine Laquet
- L’expo l’extraordinaire, Fort du Bruissin, Francheville
- La lutte finale, In Fact, Paris
- Vidéorium 01, Les Abattoirs, Toulouse 2002 – 1 /12 12 /1, Les Subsistances, Lyon
- Circu(s)lations, Zoo Galerie, Nantes
- Crash Test, Galerie Olivier Houg, Lyon
- Les Enfants du Sabbat 3, Centre d’art contemporain Le Creux de l’enfer, Thiers
2001 – Connexion-Déconnexion, Art dans la ville, Saint-Etienne – Invitation du Magasin, Grenoble
- Rencontre vidéo, Galerie Française Piazza Novonna, Rome
SCÉNOGRAPHIE
2006 - Scénographie du festival science et cinéma « A vous de voir », Théâtre de la Renaissance,
Oullins
DIVERS
2005 - Projet itinérant, Le Magasin, Grenoble – Travail en collaboration avec Phoebé Meyer
http://www.projetitinerant.com
2003 - Projet Pontoise – Etaples T.U.B, En collaboration avec Phoebé Meyer – Partenariat avec le
Centre d’art Cimaise & Portique, Albi, l’Ecole Nationale des Beaux-Arts de Lyon et la Ville d’Etaples
sur mer
COMMANDES
2009 - 1% artistique, Foyer de la petite enfance, Privas
- Signalétique de l’école St Joseph, Lyon-Fr – En collaboration avec Yannick Hoffert architecte,
Atelier 43
2006 - Réalisation de la banque d’accueil de la médiathèque de Francheville - Fr
RÉSIDENCES
2011 - Résidence de recherche jeune création art3 / Optica, Montréal, Québec
- Anarchisations, Conspire aujourd’hui / Inspire demain, FIAC+ si Affinités, Tarn
- I see the sea, and the sea sees me, avec Christine Laquet, La Plate-Forme, Dunkerque
2010 - City switch, Institut français de Bucarest et Galerie Roger Tator, Bucarest
2009 – 2010 - Centre d’art le 19, Montbéliard – Dans le cadre du projet de l’ANRU
2007 - La BF15, Lyon
2004 - Villa du Parc, Annemasse
2002-2003 - La Caserne, Pontoise
PUBLICATIONS MONOGRAPHIQUES
- Semaine, Texte : Corinne Rondeau – Edition : Espace Vallès, Lieu d’art La Halle, L’Ecole des
Beaux-Arts de Lyon.
- Projet itinérant, Texte d’Anne Langlais Devanne, Edition Le Magasin, Grenoble
- T.U.B (Tout Un Bazar), Texte de Marie de Brugerolle, Edition Institut d’Art Contemporain Villeurbanne / Rhône-Alpes
ÉCRITS DE L’ARTISTE
- Entretien avec Laurent Pernel, Le FLAC, www.leflac.fr
PUBLICATIONS COLLECTIVES
Mathieu Latulippe vision documents de recherches
laurent Pernel Théâtre de Verdure
co-édition art3 | optica, 2014
Plutôt que rien démontage.
Exposition collective à la maison du peuple.
Raphaêle Jeune et Frédéric Neyrat
Editeur : La maison du peuple
Anarchisation. Conspire demain/inspire aujourd’hui
Catalogue de l’édition 2011 de Fiac (Tarn)
-04
Texte : Florence Meyssonnier.
-Connexion-Déconnexion
Texte : Marie Vallier Savigne – Edition : Ville de Saint Etienne.
-Les Enfants du Sabbat 3
Texte : Marie de Brugerolle – Edition : Le Creux de l’Enfer.
-1/12 12/1
Texte Cyrille Bret – Edition : Ecole Nationale des Beaux-Arts de Lyon.
FORMATION
-DNSEP Ecole Nationale supérieure des beaux-arts de Lyon
-Licence d’aménagement urbain – Lyon
-Académie Royale des Beaux-Arts de Bruxelles
-4 années d’étude d’Architecture à l’ISA - Saint Luc – Bruxelles
ENSEIGNEMENT & WORKSHOP
-Depuis 2007, professeur de dessin au cours du soir de Ensba de Lyon.
-Workshop au musée d’art contemporain de lyon
-Workshop Ensa Limoge