Travelling natures du 21 janvier au 28 mars 2015 Bel Ordinaire, espace d’art contem- Collectif Ding : Lyn Nekorimaté et du mercredi au samedi de 15h à 19h porain Pau-Pyrénées Jean-Paul Labro entrée libre les Abattoirs allée Montesquieu 64 140 Billère Travelling natures est un projet un portrait collectif. En s’attachant vant de Benoît Courribet, musicien pluridisciplinaire lié aux repré- plus particulièrement à l’explo- et chercheur au CICM et Manuel sentations du territoire et des ration de l’imaginaire, du rêve et Deneu, musicien et programmateur. communautés qui y vivent. des constructions symboliques L’exposition réunit un ensemble des populations, Travelling natures Travelling natures a été développé avec le d’œuvres conçues lors de plusieurs dépasse les frontières pour nous concours de : Maison Salvan (Ville de Labège), résidences menées en France et offrir une vision du monde sensible Synesthésie (St-Denis), Conseil Général de Seine- en Indonésie de 2012 à 2015 par les et poétique. Conçue comme une St-Denis, Délégations Régionales des Affaires deux artistes du collectif Ding, Lyn déambulation entre installation Culturelles de Seine-St-Denis et d’Aquitaine, Nékorimaté et Jean-Paul Labro. sonore et propositions vidéos, HONFoundation (Indonesia), Institut Français de l’exposition offre au spectateur Yogyakarta (Indonésie), Institut Français, CNC De l’île de Java, en passant par un voyage sensoriel qui vient & Ministère de la Culture, Conseils Régionaux Labège en banlieue toulousaine et confronter son propre imaginaire d’Aquitaine et de Midi-Pyrénées, Maison des Saint-Denis, ce projet nomade inclut aux récits relatés. Issus des univers Sciences de l’Homme (Paris Nord), Centre de une démarche prospective auprès de la vidéo, de la musique et de la Recherche Informatique et de Création Musicale, des populations locales et invite performance, les deux artistes Lyn Académie Fratellini, le Bel Ordinaire, Adarum parfois les participants à s’engager Nekorimaté et Jean-Paul Labro se en tant que sujets pour dessiner sont entourés sur ce projet inno- le plan de l’exposition au sol couloir Archipel fantôme Les mariés aux pieds nus ché relativise la finalité de leur projet : « goûter une part de sacré qui nous est étranger, vivre une histoire d’amour rocambolesque. Moquette découpée, 2015 * Entre 1966 et 1969 Tchekov Minosa et Brigitte Une partie de l’archipel indoné- de Saint-Preux arpentent la route de l’Orient de sien, dont la forme est librement la Turquie à l’Inde et se marient dix fois selon des interprétée, vient recouvrir de ses rites Turcs, Kurdes, Kouchi, Turkmènes... îles le béton de la grande galerie. Leur aventure a fait l’objet d’une édition parue Fabriquées avec des tapis noirs, chez Robert Laffont : Les mariés du bout du elles marquent les sols d’em- monde. preintes géographiques comme Le collectif Ding remercie tout particulièrement autant de tatouages sur une peau. Libre à nous de recomposer la carte, Irene Agrivine et ses parents. Installation, porte, photo numérique, 2012 Échoerrance d’imaginer les océans et de naviguer dans l’exposition avec ou sans À l’instar de Tchekov Minosa et boussole. Brigitte de Saint-Preux*, Jean-Paul Labro et Lyn Nekorimaté décident de se marier plusieurs fois selon des rites issus de cultures différentes dans le monde. Sans suivre une ligne directrice géographique prédéfinie, leurs voyages en Indonésie est l’occasion de célébrer leur deuxième noce. Le couple s’est uni, Vidéo, 2012-2014 selon un rituel Javanais, à Yogyakarta le 28 septembre 2012. Il s’agit de la représentation gra- La photographie de cérémonie phique des cartographies sonores marouflée sur une porte bon mar- d’ Échoerrance . Les cartes sont en mouvement permanent modifiant Paquita jeux de balles. Cette «plaisante- ainsi l’environnement sonore du rie vidéo» s’appuie sur le scénario dispositif. Les sons fixes et mobiles d’une dispute entre deux théo- y sont représentés par des points riciens de golf et de pétanque. lumineux. Sont visibles les utili- Incarnés tour à tour par l’acteur sateurs équipés d’un casque se Gilbert Traïna, les deux théoriciens déplaçant dans les zones actives s’affrontent avec emphase oppo- du dispositif. Chacune des quatre sant leurs discours verbeux sur la cartes est activée toutes les cinq suprématie de leurs pratiques. minutes. Poster Becak Installation vidéo en boucle, 1’30’ Le collectif Ding remercie tout particulièrement Paquita, est un chien errant que le Dominique Loustalet, Robert Chabard, président collectif Ding a croisé plusieurs fois de l’ASPTT, Sabine Lauga, présidente du Golf club dans les rues du village de Labège. de Billère et tous les joueurs figurant dans la Jamais elle ne refusait une caresse, vidéo, Gilbert Traïna pour son jeu d’acteur, Alidé toujours elle traçait son chemin. Sans, Thierry Escarmant pour son soutien. L’image de Paquita est l’icône des artistes, elle trône en hauteur comme la figure tutélaire de l’expo- Dancing football match sition. Merci à Paquita, Franck Zurano et sa famille. à emporter Ce poster est une image issue salle 1 d’un fascicule de l’Institute of the Des hommes et des sphères Arts de Yogyakarta. Il présente des étudiants en train de dessiner un Becak. Le Becak est un vélo équipé La dispute d’une nacelle avant pour conduire à Vidéo, 9’40’’, 2013 Production : Maison Salvan peu de frais les autochtones et les touristes dans les centres-villes de Réalisée au cours de la résidence à Java. L’image transformée donne la Maison Salvan de Labège, la vidéo à voir son négatif, comme l’envers Dancing football match est une per- mental d’une projection, d’un désir. formance collective qui s’est déroulée sur le stade du village. Ici, non sans humour et actes de détournement, les artistes ont demandé aux Vidéo, 16’46, 2015 footballeurs de se prêter au jeu de Production : Le Bel Ordinaire la chorégraphie et aux danseuses de déplacer leurs pratiques sur un Lors de leur résidence de création terrain de football, tandis que les à Billère, le collectif Ding a déplacé villageois étaient invités à figurer son processus de création filmique dans les tribunes. L’enjeu artistique au sein de cercles d’amateurs de de la vidéo repose sur le tournage, réalisé ici selon les modes opéra- salle 2 toires de la télévision. Il est traité comme un acte cérémoniel, où des son casque audio. Ces enregistrements de paroles et de rêves Échoerrance d’habitants l’enveloppent comme membres de la communauté labé- des entités sonores autonomes et geoise sont en capacité de s’unir et mobiles, dites «fantômes». d’activer une alliance qui semble à Bien que perdant ses repères dans priori contre nature. l’obscurité la plus totale, le visiteur se trouve dans un environnement Dancing football match est inspiré de Sepolak dont il a l’impression de maîtriser Sarung, qui est un jeu de football dansant prati- les fluctuations sonores. Parado- qué le jour de l’indépendance indonésienne dans xalement, c’est par l’immobilité qu’il parvient à apprivoiser les certains villages de Java. Les hommes jouent au football jusqu’à ce qu’un DJ diffuse de la Dispositif multimédia, 2012-2014 nappes de sons qui l’entourent et musique, sous peine d’être éliminés, les joueurs Développé par Benoît Courribet et Manuel le déstabilisent. Son voyage lui fait doivent s’arrêter de jouer instantanément pour Deneu. Assistant technique pour l’installation : traverser des paysages symboliques danser. Quand la musique s’arrête, le match François Malbay où se substituent, en temps réel à l’atmosphère sonore de l’Indo- reprend son cours. Échoerrance est une œuvre nésie, celle de deux villes et d’un numérique fondée sur un principe village du sud de la France ou des de perception de cartographies anciennes zones industrielles du sonores interactives. Ce dispositif quartier de la Plaine à Saint-Denis. a été réalisé au sein de quatre territoires : Pentingsari en Indonésie, Échoerrance a été développé grâce à une bourse Labège dans le sud de la France, du CNC (DICREAM) et à la coproduction de Saint-Denis en région parisienne et plusieurs partenaires : Maison Salvan, accès(s) Billère. Durant chaque période de cultures électroniques, Centre de recherche résidence, les artistes ont collecté Informatique et Création Musicale, des sons et récolté des récits de rêves d’habitants. Échoerrance a été créé en associant des fragments de cartes topographiques existantes à une base de données constituée de sons de qualités et durées différentes. Les cartographies, devenues sonores, sont modélisées et appliquées virtuellement à la surface de l’espace d’exposition. C’est dans cette zone, appelée zone active, que le visiteur interagit avec le dispositif. Chaque visiteur dispose de son propre équipement, lui permettant autonomie et mobilité. Une fois sa présence détectée, grâce à un système de captation, il reçoit des sons dans salle 3 a été le compagnon de route des Trilogie javanaise artistes depuis leur premier voyage Le retour de Cebolang, histoires de nuits à Java. L’ouvrage est aussi le pont sacré pour rencontrer les javanais. Les errances du monde à l’envers Partager ce texte, c’est le lire, le chanter, faire un film... Chaque étape du projet de Travelling natures a été l’occasion de tourner de nouvelles séquences du film. Vidéo, 19’37, 2014 * Les chants de l’île à dormir debout, Le livre de Production : Synesthésie, Institut français, IFI LIP Centhini. Elisabeth D. Inandiak aux Editions Seuil de Yogyakarta, le Bel Ordinaire. Personnage de Cebolang : Kharisma Purbo Vidéo, 44’, 2012 Production : La Maison Salvan, HONF Foundation La fugue de Cebolang Troisième vidéo de la trilogie Suite à des guerres sanglantes javanaise, Le retour de Cebolang, entre royaumes, les trois enfants du histoires de nuits est une vidéo souverain de Giri, Jayengresmi, Ran- qui travaille la question du trouble cangkapti et Jayengsari s’enfuient entre la réalité et nos fictions. sur l’île de Java. Cette errance ponc- Tournée à Saint-Denis (93) et à Java, tuée de multiples rencontres les la vidéo a été réalisée en partie amènert à découvrir les sciences et avec des habitants, invités à parti- les cultures, les rites et les mythes ciper à un projet de collecte sonore de récits de rêves. Dans la vidéo, de leur île. Les errances du monde à l’envers est un film réalisé à partir Vidéo en deux épisodes : ces récits combinés à l’histoire sin- du texte Le livre de Centhini*. Cet 60’, 2014-2015 gulière d’une habitante, établissent ouvrage est un gigantesque chant Production : Le Bel ordinaire, Institut Français, une relation directe entre l’incons- composé au XIX ème siècle (1809) qui L’IFI LIP de Yogyakarta et HONF Foundation. cient, l’imaginaire et la mémoire. Le renvoie à la mythologie de l’île de Personnage de Cebolang : Kharisma Purbo fil conducteur du premier épisode est un personnage du Livre de Java. La journaliste Elisabeth D. Inandiak a adapté ce chef d’oeuvre Le premier épisode de La fugue Centhini qui s’appelle Cebolang. Il oublié de la littérature javanaise et de Cebolang achève le cycle de la est mis en scène dans des paysages y a insufflé son propre regard à la trilogie Javanaise. Tournée après Le volcaniques. Ceux-ci confèrent à fois épique et joyeux. retour de Cebolang mais chronolo- la vidéo une dimension tellurique La rencontre entre le collectif Ding giquement située avant, la vidéo est et convoque la force poétique de et l’auteur leur a permis de décoder une suite des Errances du monde à la nature. Cebolang nous conduit ce monstre littéraire. L’épopée l’envers. Libéré du livre de Centhini, d’un rêve à l’autre, vers autant entrevue à travers le prisme de le personnage de Cebolang trouve de mythologies de l’intime qui personnages errants, en quête le chemin de sa propre fiction. Hési- finissent par s’emboîter les unes d’eux-mêmes, permet l’agrégation tant entre Kharisma Purbo, et son dans les autres pour former le por- d’éléments liés à la mémoire et trait en éclat d’une communauté de aux savoirs traditionnels de Java. rêveurs. Cet ouvrage fabuleux et initiatique Dans la vidéo, la dernière histoire racontée est bien réelle, il s’agit inconscient collectif. Le rêve enri- volcan Merapi. À Saint-Denis, c’est d’un homme qui revient à Saint- chit notre perception de la réalité le passé industriel du quartier de La Denis après une longue absence. et parfois nous guide sur le chemin Plaine qui est réactivé, et le rapport Comme Cebolang de retour au de la spiritualité. entre les hommes, les transports et pays, l’homme revient dans une ville qu’il ne reconnaît plus. Elle l’industrie est évoqué en lien avec Agora les nouveaux développements de ce s’est métamorphosée pendant un territoire. A Billère, c’est l’histoire voyage qui pourrait bien n’être des évolutions urbanistiques qui qu’un rêve comme la réalité elle- ont modifiées la topographie des même... lieux et le paysage qu’enfant, le narrateur a connu. Les habitants devenus narrateurs révèlent des légendes et réalités salle 4 liées à l’histoire de leur com- Salle du Wayang Trois fois le rêve de Cebolang mune, et à la construction de leurs Installation vidéo, de 32’ à 45’, 2012-2014. Mobi- communautés. Les références à la lier de bois réalisé avec les machines du Fablab structure et à l’histoire d’éléments du 104 à Paris, tablettes numériques constitutifs des quatre paysages traversés se confrontent à la dimen- L’installation vidéo est composée sion onirique et volatile des récits d’un ensemble de quatre vidéos: qu’ils ont, en partie engendrés. Les Water is telling, Stones are speaking, vidéos sont visibles sur des écrans, Concrete is murmuring, Trees are posés sur des crédences découpées whispering tournées à Pentingsari selon les formes cartographiques sur l’île de Java, Labège, Saint-Denis des quatre territoires explorés par et Billère. les artistes. Empruntées au genre documen- Arche Vidéo en boucle, 16’30, 2013 taire, les quatre vidéos mettent en Bois, 2015 Production : IFI LIP, HONF Foundation. Person- parallèle des mythologies de lieux. Maître d’ouvrage : Alix Allain nage de Cebolang : Kharisma Purbo Sous l’œil mobile de la caméra du Collectif Ding, quatre histoires sont Posée comme un fragment de Cette vidéo est une incantation racontées en marchant: Jean-Paul décor sur les deux piliers de la aux dimensions cachées de notre Lorenzon à Labège, Mas Marianto à salle, l’Arche est une structure de inconscient collectif. Le personnage Pentingsari, Jean-Jacques Clément bois qui rappelle le sacré et semble de Cebolang appartient au grand à Saint-Denis et Jean-François Triep- tranformer la salle d’exposition en livre des mythologies javanaises. capdeville à Billère. temple. Le dessin des deux voutes Le livre de Centhini joue ici le À Labège, le film documentaire évoque un alliage de l’occident et rôle d’intercesseur entre le rêve renvoie à la fontaine qui porte le du moyen orient. L’arche est une et la réalité. La vidéo est composée nom de Saint-Sernin, saint martyrisé invitation au voyage, à la déambula- d’une séquence d’images répétée par un taureau au III e siècle. À Pen- tion des natures dans les cultures, trois fois à l’identique, les variations tingsari, le film s’attache à des sites du proche et du lointain, du grand du son en modifient la perception. où se sont enfoncés, il y a plusieurs et du petit. Cette vidéo convoque la puissance centaines d’années, d’énormes du mythe développée dans notre blocs de pierres projetés par le Aïkido Hikari Le génie du lieu espace documentation Kata Berantaï Néon, poster, 2015 Céramique réalisée dans les ateliers du château Néoniste : Olivier Métayer de Ratilly en Bourgogne Prise de vue poster : Luccas Michel, assisté de Vidéo, 8’, 2014 Nathalie Kagan Le collectif Ding a demandé à Flo- Vidéo, 5’48’’, 2013 Après avoir dominé les autres rence de Mecquenem, directrice du espèces animales et maîtrisé BO, ce qu’était pour elle, le génie Le collectif Ding a ici proposé aux la matière, nous contrôlons du lieu. L’eau a t-elle répondu. «Elle enfants des écoles de Labège et de aujourd’hui l’énergie pour le meil- s’est logée dans les interstices et Pentingsari un jeu de «téléphone leur et pour le pire des habitants les fissures du bâtiment pendant arabe» (Kata Berantai). de ce monde. Aïkido Hikari est une des années. Du temps des abattoirs, Dans un premier temps, les enfants composition de deux mots japonais elle servait à lessiver les restes des écoutent les courtes phrases que qui émet l’hypothèse d’un combat animaux, les eaux usagées étaient leurs homologues du bout du entre l’image et la lumière. ensuite évacuées vers le Gave de monde ont laissé à leur intention L’aïkido est un art martial japonais Pau. Aujourd’hui, les eaux sont sur un enregisteur numérique, puis et hikari signifie lumière. Selon le canalisées par de nombreux che- ils tentent de les répéter. principe d’échange et de retour- naux et gouttières qui traversent Nous constatons l’émergence d’une nement des forces de l’aïkido, on l’intérieur du bâtiment, tandis que troisième langue qui sera peut-être peut dire que le charmeur avec sa parfois on entend dans la grande entendue par l’auditeur curieux flûte tente de contrôler l’énergie galerie tambouriner la pluie sur le comme un chant d’oiseau ou une du serpent pour qu’il se rapproche puits de jour.» musique. de son image et la fasse apparaître Le film a été réalisé à huis clos un en l’éclairant. Il faudrait un noir dimanche après midi à la piscine de absolu pour activer pleinement ce Billère. dispositif. Dans la salle du Wayang, il n’y a pas d’interdépendance entre Merci à Florence de Mecquenem, Anna Labro Del- le néon et le poster. Le serpent et lion et au service municipal de la Ville de Billère. son charmeur sont pris dans un dispositif d’exposition théâtralisée qui Le collectif Ding vous propose éga- permet de les tenir à distance. Dans lement de découvrir une sélection la fiction de l’installation, le serpent d’ouvrages en lien avec l’exposition. se dirige vers son charmeur, tandis que celui-ci, sans corps matériel, lévite dans l’image, autant que celle-ci sur le mur blanc. le Bel O rdinaire espa c e d’a rt c ontempora in À VOS AGENDAS ! VISITES / ATELIERS Exposition Visites commentées I tout public Travelling natures Samedi 7 février, 16h Du 21 janvier au 28 mars 2015 avec Claire Lambert Grande galerie BO Samedi 7 mars, 16h L’espace d’art contemporain est avec le collectif Ding ouvert à tous du mercredi au samedi de 15h à 19h. Visites commentées I groupes Entrée libre Tous les matins et après-midis du lundi au vendredi, du 2 février au 28 Vernissage de l’exposition mars 2015 Mardi 20 janvier à 19h En présence du collectif Ding Ateliers créatifs Cuisine indonésienne : samedi 7 l e s a ba ttoi rs a l l é e M onte squi e u 6 4 1 4 0 B i l l è re Vernissage de Grow Kitchen février, 17h au BO Vendredi 13 février à 19h Découverte et pratique du gamelan, HONFONDATION déplace l’activité de ensemble instrumental javanais: son Fablab au BO pour y organiser samedi 7 mars, 17h30 à 19h30 au un workshop avec les étudiants Gam à Pau de l’ESA des Pyrénées et vous présenter à la suite une exposition Ateliers arts-plastiques intitulée Grow Kitchen, 5 kingdoms avec Clémentine Fort, plasticienne of live, qui se déploie à partir d’un Les matins et après-midis du lundi laboratoire de fabrication de «bio- au vendredi, en février et mars matériaux». Tout public Vernissage de La forêt des sons : Ateliers vidéo Mardi 24 février à 19h avec Lyn Nikorématé, plasticienne Les matins et après-midis en février 05 59 72 25 85 b e l o rd i n a i re . a gg lo- pa u. fr Rencontre avec le Collectif Ding : et mars jeudi 12 mars à 18h30 Adultes Performance sonore du collectif Rencontre enseignants/animateurs Ding : samedi 28 mars à 18h30 Une visite personnalisée de l’exposition en amont est possible sur simple rendez-vous. Formation enseignant parcours sonore En partenariat avec l’Inspection Académique 64 Mercredi 4 février, 13h30 à 16h30 Contact/réservations : Claire Lambert, chargée de l’action culturelle Montage de l’exposition : équipe du 06 84 77 46 53 Bel Ordinaire, Guillaume Landron, [email protected] Alexandre Boutaud, François Malbay, Maunuel Deneu, Elisa Rufflé, Benoit Ménard. Le Collectif Ding tien à remercier Florence de Mecquenem, Thierry Guibert, Gunter Ludwig, Olivier Metayer et toutes celles et ceux qui ont permis la réalisation de ce travail de quatre ans, nos partenaires et nos amis.
© Copyright 2024