journalDEP_WEB.qxp 14/03/15 12:49 Page 1 La France est régulièrement citée en exemple pour être le pays de la vraie démocratie, de la liberté d’expression et des droits de l’homme. Réjouissons-nous de cette considération qui nous vient de la plupart des autres pays et du modèle que nous représentons pour eux. Le 22 mars est une date importante pour notre pays, votre avenir et celui de notre territoire du Réolais et des Bastides. Nous sommes des hommes et des femmes de terrain qui, éloignés des querelles parisiennes, ont décidé de représenter vos communes au Conseil départemental en nous montrant disponibles, motivés et déterminés. Voter à gauche est un engagement. C’est celui de privilégier la solidarité et l’éducation, deux piliers de l’épanouissement des individus et de l’affirmation des territoires ruraux. Nous sommes convaincus que le Conseil départemental est le dernier rempart pour défendre ces valeurs essentielles, ainsi que notre ruralité. 22 mars à gauche pour l’intérêt général Une ruralité à défendre, oui, mais aussi à promouvoir. Notre qualité de vie est attractive, et nous devons diriger les moyens vers le développement économique de notre territoire afin de mieux accueillir demain. Aussi notre rôle est de veiller à ce que la métropole bordelaise ne grève pas le budget départemental, qui se doit d’être destiné en priorité au développement des communes aux moyens plus limités, comme l’a défendu jusqu’à aujourd’hui le président Philippe Madrelle. Ensemble, nous construirons une ruralité moderne, terrain privilégié d’un mieux vivre ensemble. Le 22 mars prochain, ne vous y trompez pas : votre vote n’est pas de portée nationale, mais bien locale. Il n’est pas question ici de diriger le Pays mais de choisir celles et ceux qui partageront votre vie quotidienne, dans vos communes, au plus près de vous. Prenez en main l’avenir de votre territoire. Le 22 mars, votez Gironde Solidaire ! CASTAGNET - GUIONIE BARBE - NIETRZEBA-CARLESSO Sur la photo, de gauche à d. : D. Barbe, C. Guionie, B. Castagnet et S. Nietrzeba-Carlesso. journalDEP_WEB.qxp 14/03/15 12:49 Page 2 SOLIDARITÉ COHÉSION SOCIALE PROXIMITÉ Pourquoi un nouveau canton ? Parce qu’il existait des inégalités dans la représentation des Girondins à l’Assemblée départementale : un représentant pour 60 000 habitants du canton d’Audenge, un représentant pour 2 300 habitants du canton de Captieux. Aujourd’hui, chaque canton compte en moyenne 40 000 habitants. C’est un progrès pour la démocratie, une force pour défendre efficacement la ruralité et ses services publics. Le nouveau canton suscite des interrogations sur la relation entre les conseillers départementaux et la population. Nous travaillerons en équipe : chacun de nous quatre aura la responsabilité d’un secteur géographique où il tiendra régulièrement une permanence. Nous organiserons des conférences de concertation, une par Communauté de communes, pour construire ensemble des programmes d’actions finançables par le Département. N’oublier personne, agir avec détermination Nul n’est à l’abri d’un aléa de la vie. Dans des situations difficiles, le risque de décrochage peut vite devenir désespérant. Il faut apporter des solutions complémentaires qui vont bien au-delà des aides financières (logement, santé, formation). Il faut surtout les mettre en œuvre au plus vite. Pour ce faire, 800 professionnels sont mobilisés sur les terrains de la solidarité. Ces prises en charge ont un coût, mais nous pensons que la prévention est la meilleure source d’économie sur le long terme. En Gironde, 30 % des bénéficiaires du RSA sortent du dispositif en 4 mois, 50 % au bout d’un an. Il faut préserver et améliorer cette prise en charge. MUTUELLE SANTÉ CANTONALE Nous sommes de plus en plus nombreux qui finissons par renoncer à se soigner : les cotisations des mutuelles sont trop chères. Nous proposerons de mettre en place une « mutuelle groupée » à l’échelle cantonale pour une protection complémentaire à un prix abordable. Certaines collectivités l’ont mise en place avec une baisse des tarifs de 30 à 50 %. L’accès aux soins est pour nous une priorité et un engagement. VIE ASSOCIATIVE Encourager la vitalité et la variété des associations Aider l’animation culturelle, le sport, les associations c’est faire oeuvre d’éducation populaire, pour favoriser le mieux vivre ensemble. Le Conseil général consacre 30 millions d’euros au soutien associatif. Demain, il s’attachera à sécuriser les associations par des engagements pluriannuels et soutiendra les actions de lutte contre toutes les formes de discrimination. LOGEMENT Favoriser le bien-être et l’insertion Le Conseil général finance chaque année 1 500 logements locatifs sociaux. Il soutient la rénovation énergétique. 19 000 Girondins bénéficient du Fonds Solidarité Logement. Nous mettrons en place le schéma départemental de lutte contre l’habitat indigne. Le Département maintiendra les programmes de réhabilitation des centres bourgs. PERSONNES ÂGÉES Tout faire pour favoriser le maintien à domicile Cinq des anciens cantons de notre nouveau canton ont mis en œuvre un Comité Local d’Information et de Coordination du maintien à domicile (CLIC). Ce service est financé à 50 % par le Conseil général. Nous l’étendrons au Pays foyen. Développer l’offre de familles d’accueil et de maisons de retraite (notamment à Pellegrue). Par l’aide sociale du Département, nous aiderons l’accès à ces établissements qui permet de diminuer le prix mensuel de 50 % par rapport aux maisons de retraite privées. HANDICAP En plus de la Prestation de Compensation du Handicap (PCH), nous créerons un système départemental de télé-alarme et de domotique pour aider les personnes dépendantes. Nous favoriserons les colocations et mettrons en place des centres ressources départementaux pour les aidants. AIDES AUX COMMUNES Exiger la solidarité territoriale L’ambition affichée par la métropole bordelaise et ses besoins de financements font craindre le « siphonage » des aides aux communes rurales. La métropole est le cœur de notre département, le monde rural est son poumon. Les liens entre les deux doivent rester positifs pour éviter une Gironde à deux vitesses. La métropole se développera si les villages, qui accueillent 80 % des nouveaux Girondins (15 000 par an), sont attractifs avec des services à la population efficients. Nous nous engageons à poursuivre la politique de Ph. Madrelle qui a toujours privilégié l’aide aux communes rurales. SERVICES PUBLICS Résister, innover, investir Il n’y a pas de fatalité de disparition des services publics en milieu rural. La résistance et la mobilisation payent, comme le montre la sauvegarde des hôpitaux de Sainte-Foy et La Réole. Face au danger de la désertification médicale, les maisons de santé pluridisciplinaires sont la bonne réponse. Le Département accompagnera ces créations qui font l’objet d’appels à projets nationaux. Nous réaliserons un schéma départemental des maisons de santé. Nous serons très vigilants quant au maintien et à la modernisation des bureaux de poste et des gendarmeries. journalDEP_WEB.qxp 14/03/15 12:49 Page 3 COLLÈGE AGRICULTURE VITICULTURE Le nouveau canton est une opportunité pour mieux défendre nos collèges. Nous réhabiliterons le collège de La Réole et, pour s’adapter aux évolutions démographiques, nous proposerons un collège à Auros. Nous consoliderons et moderniserons les collèges de Pellegrue, Monségur, Sauveterrede-Guyenne et Sainte-Foy-La-Grande. Soutien aux filières Notre canton du Réolais et des Bastides est une marqueterie de beaux paysages qui doit beaucoup à nos agriculteurs. Le Conseil général a toujours soutenu les filières agricoles. Nous aiderons l’installation des jeunes agriculteurs, les transmissions, les reconversions, la diversification et, notamment, la production biologique, le développement des circuits courts. Le Département a toujours été présent aux côtés des agriculteurs dans les périodes difficiles, auprès des viticulteurs lors de la récente crise ou lors des aléas climatiques qui peuvent détruire les récoltes. Nous aiderons à accéder aux assurances anti-calamités. LA JEUNESSE Au côté des jeunes 44% des bébés girondins sont suivis gratuitement par les puéricultrices et les médecins de Protection Maternelle Infantile (PMI). Le Conseil général investit dans l’éducation, soit directement (collège), soit auprès des communes (écoles). Il soutient les accueils périscolaires, l’éducation artistique et sportive. Un Fonds d’aide aux jeunes favorise leur insertion et les Garanties jeunesse accompagneront les 18-25 ans vers l’emploi en leur versant une allocation équivalente au RSA. Nous créerons une bourse complémentaire pour le service civique affecté à des tâches d’utilité sociale et écologique. ÉCONOMIE Maintenir et créer des emplois Le Département continuera à cibler ses aides sur les petites entreprises, l’artisanat, le commerce de proximité. Plus de 60 000 emplois ont été créés en 6 ans grâce au dispositif CREAGIR 33. 75 % des entreprises aidées sont pérennisées. Nous veillerons à faciliter l’accès aux marchés publics pour nos entreprises. Nous créerons une association départementale de finance solidaire pour aider les petites entreprises. Nous développerons nos structures d’apprentissage au plus près des jeunes et des entreprises. Avec Gironde Numérique, nous améliorerons l’accès au haut débit. Nous lutterons contre les zones blanches de téléphonie mobile. LES ROUTES ET LE TRANSPORT TOURISME Le tourisme vert et notre patrimoine : des atouts majeurs pour notre canton Le Conseil général a soutenu la création d’hébergements touristiques en Entre-deuxMers : de 1600 lits en 1996 à plus de 8 000 aujourd’hui. Il a aidé au développement de deux filières : Le tourisme de la vigne et du vin (routes du vin de Bordeaux et label national « Vignobles et découvertes »). Les pistes cyclables et les chemins de randonnées pédestres et équestres. Le label national de ville d’Art et d’Histoire de La Réole, sera étendu à un label Pays d’Art et d’Histoire du canton du Réolais et des Bastides, il pourra compléter le label UNESCO de la vallée de la Dordogne pour faire de notre canton un pôle touristique girondin majeur. ENVIRONNEMENT En protégeant les espaces naturels sensibles (4171 hectares), en subventionnant des pratiques de prévention et de traitement de déchets, en équipant les foyers girondins d’économiseurs d’eau, le Conseil général protége notre environnement. Il créera une agence départementale de prévention de la ressource en eau. Il adoptera un plan climat en améliorant notre performance énergétique. Nous proposerons à l’USTOM la création d’une régie syndicale pour faire baisser les coûts des ordures ménagères. Plutôt que d’annoncer des projets ruineux (pont sur l’Estuaire), nous voulons au contraire que les efforts soient concentrés sur les routes départementales qui irriguent notre canton et qui le relient aux autres pôles départementaux, en particulier la liaison Sainte-Foy/Libourne. Le Conseil départemental continuera à prendre en compte la voirie communale à travers des aides apportées aux communes. Nous soutiendrons financièrement la création de plateformes de covoiturage dans lesquelles nous installerons des voitures électriques et des vélos à assistance électrique en libre service. Enfin les circuits TransGironde (tarif unique 2,60 euros) assureront les liaisons avec les gares SNCF. Pour les personnes à mobilité réduite, le Département aidera les Communautés de communes à créer des services de transport à la demande. 14/03/15 12:49 Page 4 Ce qui nous différencie Yves d’Amécourt veut créer un poste de vice-président en charge des relations entre la métropole bordelaise et le Département. Pourquoi ? Il ignore qu’il existe déjà un partenariat entre les deux institutions. Il a été signé le 10 mars 2014. Il est vrai qu’il n’y a pas été donné suite depuis les dernières élections municipales qui ont amené A. Juppé à la présidence de la CUB. Mais peut-être qu’aujourd’hui Y. d’Amécourt souhaite aller au-delà de cette charte, c’est-à-dire faire financer par le Département les gros projets de la Métropole : Opéra, Cité des Civilisations et du Vin, le pont Jean-Jacques Bosc et la 3e tranche du tramway, …. Y. d’Amécourt serait-il prêt à brader le monde rural à A. Juppé ? Y. d’Amécourt est contre la solidarité. Dans Sud-Ouest, il déclare : « on peut agir sur la façon de gérer, par exemple sur les 800 millions consacrés au social ». Ce budget comporte 201 millions d’euros consacrés à l’insertion avec 800 personnels déployés et mobilisés pour apporter des solutions efficaces et durables au décrochage social. Il comporte 360 millions d’euros destinés à l’aide aux personnes âgées ou handicapées et 190 millions d’euros à l’enfance. Ces aides indispensables créent des emplois dans nos cantons ruraux et des emplois non délocalisables. Le 4 février, Y. d’Amécourt déclare à Sud-Ouest : « là où il y a un CCAS, une Maison Départementale des Solidarités n’est pas nécessaire. ». Dans beaucoup de communes qui ont un Centre communal d’action sociale (CCAS), le personnel se réduit à un agent administratif souvent à temps partiel. Comment assurer, dans ces conditions, les missions des Maisons départementales de solidarité ? Qui s’occupera des femmes enceintes ? Des consultations de nourrissons ? De la prévention des risques sociaux ? Il prévoit de ne pas remplacer 650 départs à la retraite sur les 5 prochaines années. Notre Département est parfaitement efficient en terme de personnel. La masse salariale ne représente que 18% du budget. Elle n’a augmenté que de 1% en moyenne depuis 3 ans. La réduction drastique proposée aurait des effets dramatiques sur notre quotidien, sur l’entretien des routes, des collèges. Les pompiers arriveraient-ils à l’heure ? Comment accompagner efficacement les personnes en perte d’autonomie ? Nous repousserons ces sombres perspectives démagogiques qui ternissent l’implication de nos agents au service de notre quotidien. 33 Majorité départementale Gironde Solidaire - Bernard DUSSAUT, conseiller général sortant, sénateur honoraire - Francis ZAGHET, conseiller général sortant - Robert PROVAIN, conseiller général sortant - Florent BOUDIE, député de la 10e circonscription - Martine FAURE, députée de la 12e circonscription - Solange MÉNIVAL, vice-présidente du Conseil Régional René BOUDIGUE, maire de Rimons Pascal LAVERGNE, maire de Monségur, éleveur - Monique DUSSAUT - Jean-Pierre NAUDON, maire de St-Avit-St-Nazaire - Alain BAZUS, maire de StPhilippe-du-Seignal - Guy DIDIER, adjoint St-AvitSt-Nazaire - Hervé LAULHAU, conseiller municipal Ste-Foy-la-Grande - Christiane BASQUE, conseiller municipal Ste-Foy-laGrande - Pierre ROBERT, conseiller municipal Pineuilh - Pierre VARGAS, conseiller municipal St-Avit-St-Nazaire - Alain LIAL, conseiller municipal St-Avit-St-Nazaire - Nicole PROVAIN - Marie-Thérèse ESCARMANT - Marie-Claire et Yves BOISSELEAU En matière d’économies budgétaires, il veut construire un pont sur l’estuaire. Outre que ce projet soit qualifié par A. Sabarot, maire de Carcans de désastreux pour l’environnement et la biodiversité dans un site promis à un classement UNESCO, le coût représente le prix de la construction de 40 collèges et 20 années d’investissements pour les routes girondines. Lors du vote du budget du Conseil général pour 2015, Y. d’Amécourt a voté toutes les dépenses sans voter les recettes. Il déclare que le taux d’imposition du Conseil général augmenterait de 4% en 2015. Or ce taux ne sera voté qu’en avril, quand on connaîtra le montant exact des bases d’imposition. Y. d’Amécourt déclare à France Bleue Gironde le 14 avril 2014 : « j’ai toujours soutenu le projet de disparition du Conseil général ». « Je fais partie des rares conseillers généraux en France qui soutiennent la disparition de leur mandat. Et je serai candidat en 2015 avec comme projet la disparition de mon mandat ». Pourquoi fait-il campagne pour le Département ? Pense-t’il plutôt à d’autres rendez-vous électoraux nationaux ? En matière de gestion, Y. d’Amécourt déclare : « il faut rentrer dans le sujet comme des entrepreneurs ». Comité de soutien - Marie CHINZI, adjointe Monségur - Daniel NOEL, adjoint Monségur - Yolande LACHAIZE, maire de Massugas - Jean-Paul et Catherine AYRES - André GREZE - Bernard ARNAUD - Jean-Louis FAVEREAU, maire honoraire de Monségur morceaux choisis à méditer - Francis SOBRADO - Bruno et Lysianne DECIMA - André et Marie-Ange BALESTIBEAU - Patrick et Marie-José GACHET - Lolita SUTEAU - Michel FRANCOIS - Francine NAUDON - Joël LABORDE - Jean-Claude et Claudette CHATEAU - Christian AUCKENTHALER - Lucette BAILLY - Michel BALLUE - Geneviève DOMINGUEZLAULHAU - Delphine GUIONIE - Daniel JOURDAIN - Jacques LACOSTE - Michel MAUMONT - Martine MAURY - Pierre PIGNON - Jeanne PROVAIN - Philippe RATINAUD - Henriette et Jean-Jacques RAYMOND - Marie REQUIER - Jean ZULIANI - Bruno MARTY, maire de La Réole - Luc SONILHAC, adjoint La Réole LE 22 MARS, VOTEZ ET FAITES VOTER CASTAGNET/GUIONIE BARBE/NIETRZEBA-CARLESSO - Luc DARCOS, adjoint La Réole - Bernadette COUSIN, adjointe La Réole, présidente comité du Jumelage - Mario COVOLAN, adjoint La Réole - Christine CABOS, adjointe La Réole - Michèle CHOVIN maire de Morizès - Alain GARRY, 1er adjoint Loubens - Chantal PICON, maire de Hure - Michèle BRUJÈRE, maire de Fossés-et-Balleyssac - Didier LECOURT, maire de St-Hilaire-de-la-Noaille - Jean-Claude TRENTIN, maire de Floudès - Gilbert ALAMINOS - Joël DOUX, maire de Montagoudin - Clara DELAS, maire de Mongauzy - Gilles JAUTARD, maire de Blaignac - Michel LATRILLE, maire de Loupiac-de-La-Réole Thierry GOURGUES, maire de Saint-Exupéry Serge ISSARD, maire de Bagas http://girondesolidaire.fr facebook : GirondeSolidaire - Christian BOUIN, maire de Bourdelles - Alain BREUILLE, maire de Loubens - Christian MALANDIT-SALLAUD, maire St Michel-deLapujade - Jacky SCARABELLO,1er adjoint de Hure - Raymond VAILLIER, président de l’OTEM - Philippe ARCHAMBAULT, président du comité de gestion Aérodrome - Christian RATTENI - Jean Claude POURRAT, président de l’Amicale Laïque - Patrick LATAPYE, président de Lous Réoules - Jean-Denis JAUBERT - Henriette Moussillac, présidente du club de Bridge - Claudy CLEMENÇON - Josie MARRASSÉ - Laure JORDAN-MEILLE, conseillère municipale La Réole - Michel FEYRIT, président SIPHEM - Philippe BRY, maire de Caumont - Jean-Marie VIAUD, maire de Mauriac - Raymond REBIÈRE, maire de Cazaugitat - Alain COURGEAU, maire de Soussac - Myriam RÉGIMONT, 1ere adjointe de Soussac - Dany BLANCHARDCLEMENS, maire de Auriolles - Bruno BERNARD, 1er adjoint St Martin-de-Lerm - Louis VANESSE, président des ainés ruraux de Blasimon - Fabienne MIRAMBET, conseillère municipale Sauveterrede-Guyenne - Christian BONNEAU, conseiller Sauveterre-de-Guyenne - Raymond VIANDON, administrateur de banque mutualiste - Jean-Louis SAUMON, maire de Brouqueyran - Guy DUBOUILH, maire de Berthez - Patrick MONTO, maire de Savignac - Christian DARTIGUOLLES - Nicole DUCOS - Martine MONGIE - Loli ROULLÉ - Christian LAULAN !"#$%&'("#)*+(,%*%#*(+-.%*/-$01%,*2-34%*5!!*6*7%,,(#,*Cocol 6*5+&3%,,("#*89:8;< journalDEP_WEB.qxp
© Copyright 2024