QUATRE TENDANCES /5 18 au 26 mars 2015 / Bordeaux Grand-Théâtre production Opéra National de Bordeaux Tam-Tam et percussion Chorégraphie, Felix Blaska If to leave is to remember Chorégraphie, Carolyn Carlson Au-delà des grands espaces (création) Chorégraphie, Hamid Ben Mahi Minus 16 Chorégraphie et costumes, Ohad Naharin Ballet de l'Opéra National de bordeaux direction Charles Jude Orchestre National Bordeaux Aquitaine Contact presse – Canal Com – Noëlle Arnault [email protected] +33 (0)5 56 79 70 53 Contact presse – Canal Com – Noëlle Arnault [email protected] +33 (0)5 56 79 70 53 ournal de Nijinsky2014 visuels sur demande auprès de l’agence Thierry Fouquet, directeur de l’Opéra National de Bordeaux - Cécile Oudeyer, direction de la communication et du développement Contact presse – Canal Com – Noëlle Arnault [email protected] +33 (0)5 56 79 70 53 visuels sur demande auprès de l’agence Thierry Fouquet, directeur de l’Opéra National de Bordeaux - Cécile Oudeyer, direction de la communication et du développement Tam-Tam et percussion ©Gaelle Hamalian-Testud COMMUNIQUÉ Quatre Tendances / 5 : le Ballet de l'Opéra National de Bordeaux interprète les chorégraphies de Felix Blaska, Carolyn Carlson, Ohad Naharin et une création de Hamid Ben Mahi Pour la 5ème fois, Charles Jude et le Ballet de l'Opéra National de Bordeaux célèbrent la danse contemporaine dans le cadre du programme « Quatre Tendances ». Des percussions « live » du stupéfiant Tam-Tam et percussion et d’une nouvelle création forcément urbaine d’Hamid Ben Mahi, en passant par la musique de Philip Glass pour la poétique If to leave is to remember de Carolyn Carlson, ce rendez-vous sera aussi l’occasion de découvrir le travail du chorégraphe israélien Ohad Naharin avec Minus 16. Tam-Tam et Percussion Chorégraphie, Felix Blaska Musique, Pierre Cheriza et Jean-Pierre Drouet « Tam-Tam et percussion », chorégraphie écrite en 1970, a fortement marqué les esprits de son l’époque. Felix Blaska l’avait imaginée lors d’une tournée en Afrique du Sud, alors qu’il dansait avec Roland Petit. Chorégraphie où se mêlent danses zouloues et figures classiques, cette pièce est entrée au répertoire du Ballet de l'Opéra National de Bordeaux en 2013. Extrait sur : www.youtube.com/watch?v=P3THkaro99Y Felix Blaska a commencé à chorégraphier dans le cadre des Ballets Roland Petit où il était le partenaire de Zizi Jeanmaire. Le succès de ses premiers ballets lui permis de former sa propre troupe, les Ballets Felix Blaska. Le succès phénoménal de ses créations, toutes d’humour et de gaité, d'une énergie débordante et d'une musicalité hors norme, le faisait acclamer par la presse comme le chorégraphe le plus doué de sa génération. Les Ballets Blaska ont été la première compagnie de danse française à profiter de la politique culturelle d’André Malraux pour être décentralisé à la Maison de la Culture de Grenoble. La compagnie de Felix Blaska a existé pendant environ 10 ans, avant sa dissolution et le départ de Blaska aux USA où il a continué de créer pour Pilobolus, Crows Nest Trio, Brodway, le cinéma et le Cirque Flora. Charles Jude figure parmi les rares directeurs de compagnies qui remontent ses ballets, pour honorer ce grand chorégraphe. If to leave is to remember Chorégraphie, Carolyn Carlson Musique, Philip Glass Après le succès de la création de « Pneuma » par le Ballet de l'Opéra National de Bordeaux, Charles Jude a sollicité Carolyn Carlson pour que le Ballet de l'Opéra National de Bordeaux remonte If to leave is to remember, créé en 2006 au Ballet theater de Munich... une pièce évoquant la mémoire de la séparation, sa douleur mais aussi son effet bénéfique. Quitter un ami, sa maison, changer de pays, perdre un être cher, couper le cordon ombilical... dans cette présence totale au monde, la danse a l’intensité de ce qui ne peut être que dans le moment, proche en ce sens de la pratique de la méditation dans le bouddhisme, thème omniprésent dans la philosophie de Carolyn Carlson. Extrait sur : www.youtube.com/watch?v=TM3s73BlAcg Depuis quatre décennies, l’influence et le succès de Carolyn Carlson sont considérables dans de nombreux pays européens. Elle a joué un rôle clef dans l’éclosion des danses contemporaines françaises et italiennes avec le GRTOP à l’Opéra de Paris et le Teatrodanza à La Fenice. En 2006, son œuvre a été couronnée par le premier Lion d’Or jamais attribué à un chorégraphe par la Biennale de Venise. Depuis 1999, la chorégraphe est directrice artistique de l’Atelier de Paris – Carolyn Carlson, centre international de master classes et de création. De 2004 à 2013, elle dirige le Centre chorégraphique national de Roubaix Nord-Pas de Calais. En janvier 2014, Carolyn installe sa compagnie, la Carolyn Carlson Company, à Paris. En résidence au Théâtre National de Chaillot jusqu’en 2016, elle produit et diffuse ses spectacles à travers le monde. Pour le ballet de l'Opéra National de Bordeaux elle a déjà créé Hydrogen Jukebox (1999) et Pneuma (2014). Contact presse – Canal Com – Noëlle Arnault [email protected] +33 (0)5 56 79 70 53 visuels sur demande auprès de l’agence Thierry Fouquet, directeur de l’Opéra National de Bordeaux - Cécile Oudeyer, direction de la communication et du développement Au-delà des grands espaces (création) Chorégraphie, Hamid Ben Mahi Dans un esprit bien différent, j’ai invité le chorégraphe hip-hop Hamid Ben Mahi à créer « Au-delà des grands espaces » pour les danseurs de la compagnie. Formé au langage classique auprès de Rosella Hightower à Cannes, il s'est formé à la fusion des styles avec Alvin Ailey à New York. Il a développé son interprétation aux côtés d’artistes comme Philippe Découflé, Michel Schweizer ou Kader Attou, avant de créer la compagnie Hors Série et d'entreprendre une recherche où il questionne l’identité du danseur hip-hop, son histoire, son vécu et sa volonté d’être sur scène. Hamid Ben Mahi entame une nouvelle traversée dans l’univers musical et poétique d’Alain Bashung avec une pièce chorégraphique pour six danseurs du Ballet de l’Opéra de Bordeaux. « Au-delà des grands espaces » s’inspire d’extraits chorégraphiques de la pièce « Apache », créée en 2013, et nous raconte des histoires d’hommes et de femmes où les corps évoluent et se métamorphosent au son des volutes rock. Les œuvres musicales, réadaptées et jouées en live par les propres musiciens d’Alain Bashung, Yann Péchin et Bobby Jocky, constituent la toile de fond de cette histoire et en dessinent le cadre. Hamid Ben Mahi s’empare de cette matière sonore et nous livre un concert corporel. Ce sera une première collaboration avec la compagnie. Charles Jude, Directeur du Ballet de l’Opéra National de Bordeaux Hamid Ben Mahi, outre sa formation et son travail avec d'autres chorégraphes (mentionnés ci-dessus), en 2000, il crée la compagnie Hors Série, et crée Chronic(s) en 2002 en collaboration avec Michel Schweizer, Sekel en 2004, Faut qu’on parle ! au Festival d’Avignon 2006 en collaboration avec Guy Alloucherie, On n’oublie pas au Festival Montpellier Danse 2007, La Géographie du danger créée en 2010 au Centre Chorégraphique National de La Rochelle / Poitou-Charentes, Kader Attou / Cie Accrorap puis tout dernièrement Beautiful Djazaïr créée en 2011 en collaboration avec la compagnie Mémoires Vives. En 2013, il crée Apache, pièce de groupe sur les œuvres d’Alain Bashung. Minus 16 Chorégraphie et costumes, Ohad Naharin Musiques, Cha-Cha de amor, Chanson traditionnelle, Stabat Mater de Vivaldi, Arlen Harold, Chopin… Lumières, Avi Yona Bueno Présentée par de multiples compagnies de danse internationales depuis sa première mondiale en 1999 à La Haye par le Nederlands Dans Theater II, « Minus 16 » est une pièce construite à partir d'extraits de précédentes œuvres de Ohad Naharin (directeur artistique de la Batsheva Dance Compagny) , dont « Mabul », « Anaphaza » et « Zachacha ». Sur des musiques et rythmes débridés allant de Dean Martin au mambo, de la techno aux musiques traditionnelles israéliennes, « Minus 16 » est basé sur les nouvelles techniques de danse contemporaine dont le célèbre Gaga, un langage corporel qui incite chaque danseur à l’exploration de ses sensations et au dépassement de ses limites familières pour explorer de nouvelles voies. Ce mode unique de travail abolit les barrières entre danseurs et spectateurs, « Minus 16 » n'est pas seulement délicieusement farfelu. « Il magnifie la joie de danser » écrivait the San Francisco Chronicle à l'issue de l'interprétation de cette chorégraphie par l'Alvin Ailey American Dance Theater. Avec la part d'imprévisible et de fun laissée aux danseurs, chaque interprétation de Minus 16 est « délicieusement » différente. Extrait sur : https://www.alvinailey.org/minus-16 Danseur et chorégraphe Israélien, Ohad Naharin intègre la Batsheva Dance Company en 1974. En 1995 sur invitation de Martha Graham, il vient parfaire en sa formation à New York dans son école, puis poursuit à la Juilliard School. En 1980, il rejoint la Mudra de Maurice Béjart à Bruxelles pour une année. De 1980 à 1990, il travaillera avec différents chorégraphes tels que Gina Buntz, Beate Gordon, David Gordon, Kazuko Hirabayashi, Mary Kajuwara, David Manion, Larry Rhodes, et Emanuel Sella. En 1990, Ohad Naharin retourne en Israël et prend la direction de la Batsheva Dance Company. Ses chorégraphies ont été présentées et produites par de nombreuses institutions telles que le Nederlands Dans Theater, le Grand Théâtre de Genève, le Ballet de Francfort, le Lyon Opera Ballet, les Grands Ballets Canadiens, le jeune Cedar Lake Contemporary Ballet2, la Rambert Dance Company, le Compañía Nacional de Danza, l'Opéra de Paris ou encore le Théâtre National de Chaillot en 2013. Contact presse – Canal Com – Noëlle Arnault [email protected] +33 (0)5 56 79 70 53 visuels sur demande auprès de l’agence Thierry Fouquet, directeur de l’Opéra National de Bordeaux - Cécile Oudeyer, direction de la communication et du développement Informations pratiques Mercredi 18, jeudi 19, vendredi 20, lundi 23, mardi 24, mercredi 25 & jeudi 26 mars à 20h Dimanche 22 mars à 15h Grand-Théâtre de Bordeaux Tarif : de 8 à 40 € / Tarif 8 - 2h environ Autour du spectacle Rencontre tous publics • De cour à jardin : rencontre avec les artistes de la production le mardi 17 mars à 18h Printemps des étudiants • Soirée dédiée aux étudiants le 19 mars en partenariat avec le Crous Ballet de l'Opéra National de Bordeaux Charles Jude, directeur du Ballet de l’Opéra de Bordeaux depuis septembre 1996, dirige une troupe de 38 danseurs et avec la collaboration d’Eric Quilleré, maître de ballet, Charles Jude privilégie la constitution d’un répertoire classique en remontant les plus grands ballets classiques dont il signe certaines chorégraphies : Casse-Noisette (1997), Giselle (1998), Coppélia (1999), La Belle au bois dormant (2000), Le Lac des cygnes (2002), Le Prince de bois (2003), Don Quichotte (2006). Il a fait entrer au répertoire de la compagnie de nombreuses œuvres célèbres classiques et néo-classiques : Hommage à Marius Petipa (1997 et 2001 avec Raymonda, Paquita, Don Quichotte pas de deux...), Continuo et Jardin aux lilas d’Antony Tudor en 1999... Conscient du précieux héritage laissé par les Ballets de Serge de Diaghilev, Charles Jude inscrit ainsi au répertoire de la compagnie les ballets de Vaslav Nijinski : Prélude à l’après-midi d’un faune (1996), de Michel Fokine : Petrouchka, Le Spectre de la rose (1998), ou encore de Léonide Massine : Le Tricorne, Parade (2003). Il poursuit ce travail avec les chorégraphies de Serge Lifar : Icare (1996, 2001, 2003) et Suite en blanc (2001) et de George Balanchine : Apollon et Le Fils prodigue (1996, 2003), Les Quatre tempéraments (1997, 2002), et enfin en 2004, Serenade, Who cares ? et Sonatine. Il propose chaque saison un nouveau programme comportant des chorégraphies néo-classiques ou issues de la Modern Dance ou encore de facture contemporaine, l’occasion pour la compagnie d’aborder un autre travail : Les Quatre Saisons (1997) de Paolo Bortoluzzi, Aunis (1997) de Jacques Garnier, Troy Game (1998, 1999) de Robert North, The Envelope (1998, 1999) et Brothers (1998) de David Parsons, Trois Préludes (1998) de Ben Stevenson et Before Nightfall (1998), Purcell Pieces (1999) de Nils Christe, Hydrogen Jukebox (1999) créé pour la compagnie par Carolyn Carlson. Aureole et Le Sacre du printemps de Paul Taylor (2002), La Pavane du Maure (2002) de José Limon, Sextet de Thierry Malandain (2003), Le Messie de Mauricio Wainrot (2005-2006), Adagietto d’Oscar Araiz, Zatoïchi de Carlotta Ikéda (2007). Parallèlement, le nombre de représentations donné en tournée se développe : Japon, États-Unis, Espagne, Italie, Paris, Kiev, Lausanne, participation aux nombreux « Hommages à Rudolf Noureev » organisés en 2003 à Bordeaux, Monaco, Tokyo, Moscou, invitation au Festival International de Edimbourg en août 2003, au festival du Printemps de Budapest en mars 2004, à Saint Pétersbourg (Théâtre Mariinski), au festival de La Havane en novembre 2004, au festival Diaghilev aux Pays-Bas en janvier 2005, en Italie en février, en Sicile en mai 2005, au théâtre du Liceu de Barcelone en octobre 2006, en Italie et en Espagne en 2007 et en 2008, à Cremone, Ferrare et Pordemone en Italie au printemps 2009, et en Chine en janvier 2012 (gala et Casse-Noisette). Le Ballet de l’Opéra National de Bordeaux a reçu deux fois le Prix Serge Lifar à l’issue d’une représentation de Suite en Blanc et Icare au Grand-Théâtre de Bordeaux en novembre 2001 et octobre 2014, ainsi que le prix Herald Angels remis lors de sa participation au Festival International d’Édimbourg et enfin le prix du meilleur ballet étranger à Cuba. Contact presse – Canal Com – Noëlle Arnault [email protected] +33 (0)5 56 79 70 53 visuels sur demande auprès de l’agence Thierry Fouquet, directeur de l’Opéra National de Bordeaux - Cécile Oudeyer, direction de la communication et du développement
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