Le Tanya du Chabbat bien qu’il n’éprouve pas le désir d’accomplir de telles actions interdites concrètement, à D.ieu ne plaise, elles ne sont pas véritablement répugnantes pour lui comme elles le sont pour les tsaddikim (et il se peut qu’il en ressente le désir), comme dit précédemment (Chapitre douze). Rabbi Chnéour Zalman a alors expliqué qu’après la prière, et en dépit de l’élévation alors atteinte, lorsque l’amour de D.ieu ne se fait plus ressentir en son cœur, le beinoni peut à nouveau éprouver un attrait pour la matérialité et désirer des choses permises ou interdites. Toutefois, ce désir demeure à l’état de « mauvaises pensées » et ne s’exprime pas au point que soit envisagé le passage à l’acte. Et en cela (l’existence même chez lui d’un tel désir à l’égard de choses contraires à la Volonté divine), il est plus bas, plus répugnant et plus abominable que les animaux impurs, les insectes et les reptiles, comme expliqué plus haut au Chapitre vingt-quatre. Contrairement à l’être humain, ces créatures n’entreprennent rien à l’encontre de la Volonté divine. L’homme enclin à un tel comportement leur est donc inférieur. Ainsi qu’il est écrit : « Et je suis un ver et non un homme, etc. » Or, un homme semblable à un ver est, ipso facto, inférieur à ce dernier pour avoir fait le choix de lui ressembler. Mais que dire alors de ces moments comme la prière, durant lesquels le beinoni éprouve un véritable sentiment d’amour pour D.ieu, bannissant de son cœur tout désir matériel ? Le texte répond à cette question implicite par une parenthèse : (Et même quand son âme divine se renforce en lui, pour éveiller [un sentiment d’]amour pour D.ieu durant la prière, cette émotion n’est pas d’une authenticité absolue puisqu’elle passe et disparaît après la prière, comme expliqué plus haut, à la fin du Chapitre treize.) Rabbi Chnéour Zalman a expliqué que seul ce qui est permanent et immuable peut être qualifié de « vrai », selon l’expression des Proverbes : « Le langage de vérité sera établi pour l’éternité ». A l’échelle du beinoni cependant, cet éveil de l’âme divine durant la prière peut être regardé comme « vrai » dès lors que le beinoni est toujours capable de susciter un tel sentiment durant la prière. Mais il ne saurait être défini comme « absolument vrai » (en hébreu émète laamito), puisqu’il n’est pas constant et ne se manifeste qu’à l’heure de la prière. De cette imperfection d’un sentiment qui s’évanouit après la prière, le beinoni peut nourrir sa méditation. Et en particulier lorsqu’il se souviendra du fait que son âme a été souillée par la faute de jeunesse et de la tare qu’il a [ainsi] causée dans les [mondes] supérieurs – à la source de son âme ; Certes, une telle faute appartient désormais au passé et ne serait plus concevable pour lui qui a atteint le rang de beinoni ; néanmoins, précise le Tanya, אבל בבינוני מאחר שמהותה ועצמותה של נפש החיונית הבהמית שמס״א המלובשת בדמו ובשרו לא נהפך לטוב הרי היא היא האדם עצמו וא״כ הוא רחוק מה’ בתכלית הריחוק שהרי כח המתאוה שבנפשו הבהמית יכול ג״כ להתאוות לדברי’ האסורים שהם נגד רצונו ית’ אף שאינו מתאוה לעשותם ’בפועל ממש ח״ו רק שאינם מאוסים אצלו באמת כבצדיקים כמש״ל [פ ובזה הוא גרוע ומשוקץ ומתועב יותר מבעלי חיים הטמאים ושקצים.]יב ורמשים כנ״ל וכמ״ש ואנכי תולעת ולא איש וגו’ [וגם כשמתגברת בו נפשו האלהית לעורר האהבה לה’ בשעת התפלה אינה באמת לאמיתו לגמרי מאחר שחולפת ועוברת אחר התפלה כנ״ל ספי״ג] ובפרט כשיזכור טומאת נפשו בחטאת נעורים והפגם שעשה בעליוני’ ושם הוא למעלה מהזמן וכאלו פגם ונטמא היום ח״ו ממש ואף שכבר עשה תשובה נכונה הרי עיקר התשובה בלב והלב יש בו בחי’ ומדרגות רבות והכל לפי מה שהוא אדם ולפי הזמן והמקום כידוע ליודעים ולכן עכשיו בשעה זו שרואה בעצמו דלא סליק ביה נהורא דנשמתא מכלל שהיום לא נתקבלה תשובתו ועונותיו מבדילים או שרוצים להעלותו לתשובה עילאה יותר מעומקא דלבא יותר ולכן אמר .דוד וחטאתי נגדי תמיד Le Tehilim du Chabbat Il est donc possible que le repentir passé ne suffise pas au regard de sa stature actuelle et qu’un repentir plus profond soit désormais attendu. Et c’est pour cela que maintenant, en ce moment-là où il observe en lui-même que la lumière de l’âme ne le pénètre pas, il en ressort (a) qu’aujourd’hui, son repentir n’a pas été accepté et ses fautes font séparation entre lui et le Divin, ne laissant pas pénétrer la lumière de l’âme ; ou bien (b) que l’on veut l’élever à un repentir supérieur, issu [d’un niveau] plus profond du cœur par rapport à son repentir passé. Autrement dit, ce n’est pas que son repentir n’est pas accepté : bien au contraire, on souhaite ici le faire progresser vers un degré supérieur de repentir. On le confronte par conséquent à de telles entraves dans le service de D.ieu afin qu’il suscite des forces plus profondes et s’élève à ce niveau supérieur. Et c’est pour cela que le Roi David a dit : « Ma faute est toujours face à moi ». Pourquoi David devait-il constamment se souvenir de ses fautes passées ? N’avait-il pourtant pas dit : « et mon cœur est vide audedans de moi », ce qui signifie qu’il n’avait plus de mauvais penchant, plus aucune trace de faute, et qu’il avait donc atteint le rang de tsaddik (comme le Chapitre premier du Tanya l’a déjà montré) ! Force est de conclure qu’il recherchait par là l’élévation à l’intérieur même de la sainteté, un niveau de repentir supérieur… Sortie 18:08 19:15 Strasbourg 17:47 Entrée Sortie 18:53 Lyon 18:02 19:06 Nancy 17:53 19:00 Marseille 18:03 19:05 Bordeaux 18:25 19:28 Nice 17:55 18:57 Montpellier 18:09 19:11 Grenoble 18:00 19:03 Toulouse 18:19 19:21 (Extrait du journal du Rabbi) RÉPARTITION MENSUELLE DES TÉHILIM Dans votre synagogue, comme dans toutes celles des ‘Hassidim, on instaurera la pratique que j’ai introduite pour toutes les communautés, il y a quelques années, la lecture publique des Tehilim, selon leur répartition mensuelle, après la prière, suivie d’un Kaddish, à l’issue de chaque office. Grâce à cela, D.ieu vous accordera une bénédiction abondante, l’opulence matérielle. Cela vous sera salutaire, matériellement et spirituellement. De la part de votre ami, recherchant votre bien et vous accordant ma bénédiction matérielle et spirituelle, et là-bas (dans les sphères supérieures), tout est au-delà du temps, et c’est comme si c’était aujourd’hui même qu’il avait causé cette flétrissure et qu’il s’était souillé, à D.ieu ne plaise, vraiment. Et bien qu’il ait déjà fait un repentir correct, effaçant ainsi la souillure provoquée par la faute, mais le principe du repentir est dans le cœur, et le cœur comprend de nombreux degrés et distinctions, Selon l’expression du verset : « Des profondeurs (du cœur) je T’appelle », ce qui indique bien qu’il existe plusieurs degrés de profondeur. et tout dépend de quel homme il est (le repentir et la profondeur du regret doivent être à la mesure de sa stature), et du temps et du lieu (le repentir dépend aussi de l’épreuve et de la tentation à laquelle il était sujet à cette époque et en ce lieu), comme il est connu de ceux qui savent. Entrée Paris Mon père, le Tséma’h Tsédek, me dit : “ Si vous saviez la force des versets des Tehilim, ce qu’ils accomplissent dans les sphères célestes, vous les liriez sans cesse. Sachez que les Psaumes brisent toutes les barrières, connaissent des élévations successives, auxquelles rien ne peut faire obstacle, qu’ils se déposent devant le Maître des mondes et font leur effet, dans la bonté et la miséricorde ”. (Lettre, Iguerot Kodech, tome 11, page 224) HAYOM YOM En revanche, dans le cas du beinoni, dès lors que l’être et essence de l’âme vitale et animale, issue de la sitra a’hara, revêtue de son sang et de sa chair n’a pas été transformé en bien, elle est bien la personne même du beinoni. C’est pourquoi, lorsqu’il parvient à un état de contrition, le beinoni brise par là même la sitra a’hara. Le texte va maintenant exposer différentes pensées sur lesquelles le beinoni doit centrer sa réflexion afin d’atteindre ce résultat. Il s’agit tout d’abord de méditer ce qui précisément vient d’être dit, à savoir qu’il s’identifie lui-même à la sitra a’hara. Et s’il en est ainsi, à savoir que le beinoni lui-même s’identifie à son âme animale, il est éloigné de D.ieu au plus haut point. Car la force désirante de son âme animale peut également désirer des choses interdites, qui sont opposées à la volonté de D.ieu ; CHABBAT PARACHAT MICHPATIM SAMEDI 25 FÉVRIER 2017 | 29 CHEVAT 5777 HAYOM YOM | 29 CHEVAT L’Admour Hazaken dit un jour: «Le commentaire de Rachi sur le ‘Houmach est le vin de la Torah. Il ouvre le coeur et dévoile l’amour intense et la crainte profonde. Le commentaire de Rachi sur le Talmud ouvre l’esprit et dévoile la compréhension précise.» Psaume de la Rabbanit Psaume du Rabbi פרק קטז י־ה ָּטה ָאזְ נוֹ לִ י ו ְּבי ַָמי ִ ב ִ ּכ:א ָא ַה ְב ִּתי ִ ּכי־י ׁ ְִש ַמע ְי ָי ֶאת־קוֹ לִ י ַּת ֲחנוּנָ י :י־מוֶ ת ו ְּמ ָצ ֵרי ׁ ְשאוֹ ל ְמ ָצאוּנִ י ָצ ָרה וְ יָגוֹ ן ֶא ְמ ָצא ָ ֵ ג ֲא ָפפוּנִ י ֶח ְבל:ֶא ְק ָרא ה ַח ּנוּן ְי ָי וְ ַצדִּ יק וֵ אל ֵֹהינ ּו:ד ו ְּב ׁ ֵשם־ ְי ָי ֶא ְק ָרא ָא ָ ּנה ְי ָי ַמ ְּל ָטה נַ ְפ ׁ ִשי ז ׁשו ִּבי נַ ְפ ׁ ִשי לִ ְמנו ָּחיְכִ י: ו ׁש ֵמר ּ ְפ ָתאיִם ְי ָי דַּ לּ ִתי וְ לִ י יְהוֹ ׁ ִש ַיע:ְמ ַר ֵחם ת־עינִ י ִמן־דִּ ְמ ָעה ֶאת־ ֵ ח ִ ּכי ִח ַ ּל ְצ ָּת נַ ְפ ׁ ִשי ִמ ָּמוֶ ת ֶא:ִ ּכי ְי ָי ָ ּג ַמל ָעלָ יְכִ י י ֶה ֱא ַמנְ ִּתי ִ ּכי ֲא ַד ֵ ּבר: ט ֶא ְת ַה ֵ ּל ְך לִ ְפנֵ י ְי ָי ְ ּב ַא ְרצוֹ ת ַה ַח ּיִים:ַרגְ לִ י ִמדֶּ ִחי ה־א ׁ ִשיב ָ יב ָמ:ל־ה ָא ָדם כּ זֵ ב ָ יא ֲאנִ י ָא ַמ ְר ִּתי ְב ָח ְפזִ י ָּכ:ֲאנִ י ָענִ ִיתי ְמאד יד נְ ָד ַרי: יג כּ וֹ ס־י ְׁשוּעוֹ ת ֶא ּ ָׂשא ו ְּב ׁ ֵשם ְי ָי ֶא ְק ָרא:ל־תגְ מוּלוֹ ִהי ָעלָ י ַּ לַ ְי ָי ָּכ טז:ידיו ָ טו י ָָקר ְ ּב ֵעינֵ י ְי ָי ַה ָּמוְ ָתה לַ ֲח ִס: ֹל־ע ּמו ַ ָלַ ְי ָי ֲא ׁ ַש ֵ ּלם נֶ גְ ָדה־ ָ ּנא לְ כ ָ ָ יז לְ ך־:ן־א ָמ ֶת ָך ּ ִפ ַּת ְח ָּת לְ מוֹ ֵס ָרי ֲ י־אנִ י ַע ְבדֶּ ָך ֲאנִ י ַע ְבדְּ ך ֶ ּב ֲ ָא ָ ּנה ְי ָי ִ ּכ יח נְ ָד ַרי ל ְי ָי ֲא ׁ ַש ֵ ּלם נֶ גְ ָדה־ ָ ּנא:ֶאזְ ַ ּבח זֶ ַבח ּתוֹ ָדה ו ְּב ׁ ֵשם ְי ָי ֶא ְק ָרא : ְ ּב ַח ְצרוֹ ת ֵ ּבית ְי ָי ְ ּבתוֹ כֵ כִ י יְרו ׁ ָּשלָ ם ַהלְ ל ּוי ָּה: ֹל־ע ּמו ַ ָלְ כ פרק קטו :ל־א ִמ ֶּת ָך ֲ ל־ח ְסדְּ ָך ַע ַ א ל ֹא לָ נ ּו ְי ָי ל ֹא לָ נ ּו ִ ּכי לְ ׁ ִש ְמ ָך ֵּתן ָּכבוֹ ד ַע ג וֵ אל ֵֹהינ ּו ַב ׁ ּ ָש ָמיִם כּ ל:יאמר ּו ַהגּוֹ יִם ַא ּיֵה־נָ א ֱאל ֵֹה ֶיהם ְ ב לָ ָּמה ה ּ ֶפה: ד ֲע ַצ ֵ ּב ֶיהם ֶּכ ֶסף וְ זָ ָהב ַמ ֲע ֵׂשה י ְֵדי ָא ָדם:ר־ח ֵפץ ָע ָׂשה ָ ֲא ׁ ֶש ו ָאזְ נַ יִם לָ ֶהם וְ ל ֹא י ׁ ְִש ָמע ּו:ּלָ ֶהם וְ ל ֹא י ְַד ֵ ּבר ּו ֵעינַ יִם לָ ֶהם וְ ל ֹא י ְִראו ז י ְֵד ֶיהם וְ ל ֹא י ְִמ ׁישוּן ַרגְ לֵ ֶיהם וְ ל ֹא י ְַה ֵ ּלכ ּו:ַאף לָ ֶהם וְ ל ֹא י ְִריחוּן ט:שר־בּ ֵט ַח ָ ּב ֶהם ֶ ׁ ח ְ ּכמוֹ ֶהם י ְִהי ּו ע ֵׂש ֶיהם כּ ל ֲא:ל ֹא־י ְֶה ּג ּו ִ ּבגְ רוֹ נָ ם י ֵ ּבית ַא ֲהרן ִ ּב ְטח ּו ַב ְי ָי ֶעזְ ָרם:ִי ְׂש ָר ֵאל ְ ּב ַטח ַ ּב ְי ָי ֶעזְ ָרם ו ָּמגִ ָ ּנם הוּא יב ְי ָי זְ כָ ָרנ ּו: יא י ְִר ֵאי ְי ָי ִ ּב ְטח ּו ַב ְי ָי ֶעזְ ָרם ו ָּמגִ ָ ּנם הוּא:ו ָּמגִ ָ ּנם הוּא יג י ְָב ֵר ְך י ְִר ֵאי:ת־בית ַא ֲהרן ּ ֵ ת־בית ִי ְׂש ָר ֵאל י ְָב ֵר ְך ֶא ּ ֵ י ְָב ֵר ְך י ְָב ֵר ְך ֶא :ל־בנֵ יכֶ ם ּ ְ יד ֵיסף ְי ָי ֲעלֵ יכֶ ם ֲעלֵ יכֶ ם וְ ַע:ם־ה ְ ּגדלִ ים ַ ְי ָי ַה ְ ּק ַט ִ ּנים ִע טז ַה ׁ ּ ָש ַמיִם ׁ ָש ַמיִם לַ ְי ָי:טו ְ ּברוּכִ ים ַא ֶּתם לַ ְי ָי ע ֵׂשה ׁ ָש ַמיִם וָ ָא ֶרץ ל־יר ֵדי ְ ֹא־ה ֵּמ ִתים י ְַהלְ לוּ־י ָּה וְ ל ֹא ָּכ ַ יז ל:י־א ָדם ָ ֵוְ ָה ָא ֶרץ נָ ַתן לִ ְבנ ְ : יח וַ ֲאנַ ְחנ ּו נְ ָב ֵרך י ָּה ֵמ ַע ָּתה וְ ַעד־עוֹ לָ ם ַהלְ ל ּוי ָּה:דו ָּמה ָ = יְ יAdo-nay Edition Beth Loubavitch Leilouy Nichmat Rav Chmouel ben Rav Chaim Hillel Azimov ח הוֹ ִצ ָיאה ִמ ַּמ ְס ֵ ּגר נַ ְפ ׁ ִשי לְ הוֹ דוֹ ת ֶאת:ְד ַפי ִ ּכי ָא ְמצ ּו ִמ ֶּמ ִ ּני פרק קמ ָ ש ֶמך ִ ּבי יַכְ ִּתר ּו ַצדִּ ִיקים ִ ּכי ִתגְ מֹל ָעלָ י: ְׁ ב ַח ְּל ֵצנִ י ְי ָי ֵמ ָא ָדם ָרע ֵמ ִא ׁיש ֲח ָמ ִסים:א לַ ְמנַ ֵ ּצ ַח ִמזְ מוֹ ר לְ ָדוִ ד ד:שב ּו ָרעוֹ ת ְ ּבלֵ ב ָ ּכל יוֹ ם יָגוּר ּו ִמלְ ָחמוֹ ת ְ ׁ ג ֲא ׁ ֶשר ָח:ִּתנְ ְצ ֵרנִ י פרק קמג ה:ש ָפ ֵתימוֹ ֶסלָ ה ׂ ְ ׁ ָשנֲ נ ּו לְ ׁשוֹ נָ ם ְ ּכמוֹ נָ ָח ׁש ֲח ַמת ַעכְ ׁשוּב ַּת ַחת ָׁ ָש ְמ ֵרנִ י ְי ָי ִמ ֵידי ָר ׁ ָשע ֵמ ִא ׁיש ֲח ָמ ִסים ִּתנְ ְצ ֵרנִ י ֲא ׁ ֶשר ָח ׁ ְשב ּו לִ ְד־ א ִמזְ מוֹ ר לְ ָדוִ ד ְי ָי ׁ ְש ַמע ְּת ִפ ָ ּל ִתי ַה ֲאזִ ינָ ה ֶאל ַּת ֲחנוּנַ י ֶ ּב ֱא ֻמנָ ְתך ב וְ ַאל ָּתבוֹ א ְב ִמ ׁ ְש ּ ָפט ֶאת ַע ְבדֶּ ָך ִ ּכי ל ֹא י ְִצדַּ ק:ש ּו ֶר ׁ ֶשת לְ יַד ַמ ְע ָ ּגל ֲענֵ נִ י ְ ּב ִצ ְד ָק ֶת ָך ׂ ו ָט ְמנ ּו גֵ ִאים ּ ַפח לִ י וַ ֲח ָבלִ ים ּ ָפ ְר:חוֹ ת ּ ְפ ָע ָמי ָ ג ִ ּכי ָר ַדף אוֹ יֵב נַ ְפ ׁ ִשי דִּ ָּכא לָ ָא ֶרץ ַח ּי ִָתי הוֹ ׁ ִש ַיבנִ י: ז ָא ַמ ְר ִּתי לַ ְי ָי ֵאלִ י ָא ָּתה ַה ֲאזִ ינָ ה ְי ָי קוֹ ל לְ ָפנֶ יך כָ ל ָחי:מ ְֹק ׁ ִשים ׁ ָשת ּו לִ י ֶסלָ ה ד וַ ִּת ְת ַע ֵּטף ָעלַ י רו ִּחי ְ ּבתוֹ כִ י ִי ׁ ְש ּתוֹ ֵמם: ט ְב ַמ ֲח ׁ ַש ִ ּכים ְ ּכ ֵמ ֵתי עוֹ לָ ם:ֹאשי ְ ּביוֹ ם נָ ׁ ֶשק ִֹ ח י:ַּת ֲחנוּנָ י ִ ׁ ְהוה ֲאדֹנָ י עֹז י ְׁשו ָּע ִתי ַסכּ ָֹתה לְ ר ָשה י ֶָדיך ָ ׂ ֵ ה זָ כַ ְר ִּתי י ִָמים ִמ ֶ ּק ֶדם ָהגִ ִיתי ְבכָ ל ּ ָפ ֳעלֶ ך ְ ּב ַמ ֲע:ֹאש לִ ִ ּבי ׁ י ר:ַאל ִּת ֵּתן ְי ָי ַמ ֲאוַ ּיֵי ָר ׁ ָשע זְ ָממוֹ ַאל ָּת ֵפק ָירוּמ ּו ֶסלָ ה ָ ֶש ִּתי י ַָדי ֵאל ז ַמ ֵהר:יך נַ ְפ ׁ ִשי ְ ּכ ֶא ֶרץ ֲעי ֵָפה לְ ָך ֶסלָ ה ׂ ְ ו ּ ֵפ ַר:יא (ימיטו) י ִּמוֹ ט ּו ֲע־ ֲאשׂ וֹ ֵח ַח: ֹש ָפ ֵתימוֹ (יכסומו) יְכַ ֵּסמו ׂ ְ ְמ ִס ָ ּבי ֲע ַמל ָ יב ִא ׁיש לָ ׁשוֹ ן ֲענֵ נִ י ְי ָי ָּכלְ ָתה רו ִּחי ַאל ַּת ְס ֵּתר ּ ָפנֶ יך ִמ ֶּמ ִ ּני וְ נִ ְמ ׁ ַשלְ ִּתי ִעם י ְֹר ֵדי:ּלֵ ֶיהם ֶ ּג ָחלִ ים ָ ּב ֵא ׁש י ּ ִַפלֵ ם ְ ּב ַמ ֲהמֹרוֹ ת ַ ּבל יָקוּמו ח ַה ׁ ְש ִמ ֵיענִ י ַבבּ ֶֹקר ַח ְסדֶּ ָך ִ ּכי ְב ָך ָב ָט ְח ִּתי הוֹ ִד ֵיענִ י דֶּ ֶר ְך ז ּו: יג (ידעת) י ַָדע�ְ בוֹ ר:ת:ַֹ ּבל יִכּ וֹ ן ָ ּב ָא ֶרץ ִא ׁיש ָח ָמס ָרע יְצו ֶּד ּנ ּו לְ ַמ ְד ֵחפ ָ ֶ ט ַה ִ ּצילֵ נִ י ֵמאֹי ְַבי ְי ָי ֵאל:אתי נַ ְפ ׁ ִשי ָ ֶ יד ַא ְך ַצדִּ ִיקים יוֹ ד ּו ֵאלֵ ְך ִ ּכי ֵאל:שה ְי ָי דִּ ין ָענִ י ִמ ׁ ְש ּ ַפט ֶא ְביֹנִ ים י:יך כִ ִּס ִתי ׂ ָ ָיך נ ִ ש ׂ ֶ ִּתי ִ ּכי י ֲַע ָ ָ ָ ֶלִ ׁ ְש ֶמ ָך ֵי ׁ ְשב ּו ְי ׁ ָש ִרים ֶאת ּ ָפנ: לַ ְּמ ֵדנִ י לַ ֲעשׂוֹ ת ְרצוֹ נֶ ך ִ ּכי ַא ָּתה ֱאלוֹ ָהי רו ֲּחך טוֹ ָבה ַּתנְ ֵחנִ י ְ ּב ֶא ֶרץ יך : יא לְ ַמ ַען ׁ ִש ְמ ָך ְי ָי ְּת ַח ּיֵנִ י ְ ּב ִצ ְד ָק ְת ָך תוֹ ִציא ִמ ָ ּצ ָרה נַ ְפ ׁ ִשי:ִמ ׁישוֹ ר אי ְָבי וְ ַה ֲא ַב ְד ָּת ָּכל צ ֲֹר ֵרי נַ ְפ ׁ ִשי ִ ּכי ֲאנִ י ַע ְבדֶּ ָך ֹ יב ו ְּב ַח ְסדְּ ָך ַּת ְצ ִמית: פרק קמא ְ:יך חו ׁ ָּשה ִּלי ַה ֲאזִ ינָ ה קוֹ לִ י ְ ּב ָק ְר ִאי לָ ך ָ את ִ א ִמזְ מוֹ ר לְ ָדוִ ד ְי ָי ְק ָר ָ ֶב ִּתכּ וֹ ן ְּת ִפ ָ ּל ִתי ְקט ֶֹרת לְ ָפנ פרק קמד ׂ ְ יך ַמ ג ׁ ִש ָיתה:ש ַאת ַּכ ּ ַפי ִמנְ ַחת ָע ֶרב ְ ב:ד ַאל ַּתט לִ ִ ּבי לְ ָד ָבר ָרע א לְ ָדוִ ד ָ ּברוּך ְי ָי צו ִּרי ַה ְמלַ ּ ֵמד י ַָדי לַ ְק ָרב ֶא ְצ ְ ּבעוֹ ַתי לַ ּ ִמלְ ָח ָמה:ש ָפ ָתי ׂ ְ ְי ָי ׁ ָש ְמ ָרה לְ ִפי נִ ְ ּצ ָרה ַעל דַּ ל ש ַ ּג ִ ּבי ו ְּמ ַפלְ ִטי לִ י ָמגִ ִ ּני וּבוֹ ָח ִס ִיתי ָהרוֹ ֵדד ׂ ְ ישים ּפ ֲֹעלֵ י ָאוֶ ן ו ַּבל ֶאלְ ַחם ְ ּב־ ַח ְסדִּ י ו ְּמצו ָּד ִתי ִמ ִ ׁ לְ ִה ְתעוֹ לֵ ל ֲעלִ לוֹ ת ְ ּב ֶר ׁ ַשע ֶאת ִא ד ָא ָדם:ּ ג ְי ָי ָמה ָא ָדם וַ ֵּת ָד ֵעה ּו ֶ ּבן ֱאנוֹ ׁש וַ ְּת ַח ׁ ּ ְש ֵבהו:ֹאש ַאל יָנִ י ַע ִּמי ַת ְח ָּתי ׁ ה י ֶֶהלְ ֵמנִ י ַצדִּ יק ֶח ֶסד וְ יוֹ כִ ֵיחנִ י ׁ ֶש ֶמן ר:ַמנְ ַע ֵּמ ֶיהם ָ ה ְי ָי ַהט ׁ ָש ֶמיך וְ ֵת ֵרד ַ ּגע ֶ ּב ָה ִרים:ו נִ ׁ ְש ְמט ּו ִב ֵידי ֶסלַ ע ׁש ְֹפ־ לַ ֶה ֶבל דָּ ָמה י ָָמיו ְ ּכ ֵצל עוֹ ֵבר:ֹאשי ִ ּכי עוֹ ד ו ְּת ִפ ָ ּל ִתי ְ ּב ָרעוֹ ֵת ֶיהם ִׁ ר ָ ז ׁ ְשלַ ח י ֶָדיך:יך ו ְּת ֻה ֵּמם ָ ו ְ ּברוֹ ק ָ ּב ָרק ו ְּת ִפ ֵיצם ׁ ְשלַ ח ִח ֶ ּצ:ּ ז ְ ּכמוֹ פֹלֵ ַח ּוב ֵֹק ַע ָ ּב ָא ֶרץ נִ ְפזְ ר ּו וְ י ֱֶע ׁ ָשנו:ֵּט ֶיהם וְ ׁ ָש ְמע ּו ֲא ָמ ַרי ִ ּכי נָ ֵעמו ָ ֶ ח ִ ּכי ֵאל:ֲע ָצ ֵמינ ּו לְ ִפי ׁ ְשאוֹ ל ח ֲא ׁ ֶשר ּ ִפ ֶיהם:יך יְהוִ ה ֲאדֹנָ י ֵעינָ י ְ ּבכָ ה ָח ִס ִיתי ַאל ִמ ָּמרוֹ ם ּ ְפ ֵצנִ י וְ ַה ִ ּצילֵ נִ י ִמ ַּמיִם ַר ִ ּבים ִמ ּיַד ְ ּבנֵ י נֵ כָ ר ט ֱאל ִֹהים ׁ ִשיר ָח ָד ׁש ָא ׁ ִש ָירה ָ ּל ְך:ימינָ ם י ְִמין ׁ ָש ֶקר ִ ִ י דִּ ֶ ּבר ׁ ָשוְ א ו: ט ׁ ָש ְמ ֵרנִ י ִמ ֵידי ַפח י ְָק ׁש ּו לִ י ּומ ְֹק ׁשוֹ ת ּפ ֲֹעלֵ י ָאוֶ ן:ְּת ַער נַ ְפ ׁ ִשי ְ י ַהנּוֹ ֵתן ְּת ׁשו ָּעה לַ ְּמלָ כִ ים ַה ּפוֹ ֶצה ֶאת:ְ ּבנֵ ֶבל ָעשׂוֹ ר ֲאזַ ְּמ ָרה ָ ּלך י ּ ְִפל ּו ְב ַמכְ מ ָֹריו ְר ׁ ָש ִעים י ַַחד ָאנֹכִ י ַעד ֶא ֱעבוֹ ר: יא ּ ְפ ֵצנִ י וְ ַה ִ ּצילֵ נִ י ִמ ּיַד ְ ּבנֵ י נֵ כָ ר ֲא ׁ ֶשר:דָּ וִ ד ַע ְבדּ וֹ ֵמ ֶח ֶרב ָר ָעה ֻ� יב ֲא ׁ ֶשר ָ ּבנֵ ינ ּו ִ ּכנְ ִט ִעים ְמג:ר:ימינָ ם י ְִמין ׁ ָש ֶק ִ ִּ ִפ ֶיהם דִּ ֶ ּבר ׁ ָשוְ א ו פרק קמב ְ� יג מ:ל: ָ ב קוֹ לִ י ֶאל ְי ָי ֶאזְ ָעק דָּ לִ ים ִ ּבנְ עו ֵּר ֶיהם ְ ּבנוֹ ֵתינ ּו כְ זָ וִ ּיֹת ְמ ֻח ָּטבוֹ ת ַּת ְבנִ ית ֵהיכ:ש ִ ּכיל לְ ָדוִ ד ִ ּב ְהיוֹ תוֹ ַב ְּמ ָע ָרה ְת ִפ ָ ּלה ׂ ְ א ַמ ד זָ וֵ ינ ּו ְמלֵ ִאים ְמ ִפ ִיקים ִמ ַּזן ֶאל זַ ן צֹאונֵ נ ּו ַמ ֲאלִ יפוֹ ת ְמ ֻר ָ ּבבוֹ ת:ש ִיחי ָצ ָר ִתי לְ ָפנָ יו ַא ִ ּגיד ׂ ִ ג ֶא ׁ ְש ּפ ְֹך לְ ָפנָ יו:קוֹ לִ י ֶאל ְי ָי ֶא ְת ַח ָ ּנן יד ַאלּ ו ֵּפינ ּו ְמ ֻס ָ ּבלִ ים ֵאין ּ ֶפ ֶרץ וְ ֵאין יוֹ ֵצאת וְ ֵאין:ְּ ּב ִה ְת ַע ֵּטף ָעלַ י רו ִּחי וְ ַא ָּתה י ַָד ְע ָּת נְ ִת ָיב ִתי ְ ּבא ַֹרח ז ּו ֲא ַה ֵ ּל ְך ָט ְמנ ּו ְ ּבחוּצוֹ ֵתינו טו ַא ׁ ְש ֵרי ָה ָעם ׁ ֶש ָּככָ ה לּ וֹ ַא ׁ ְש ֵרי ָה ָעם ׁ ֶשיֲהוָ ה:ּ ה ַה ֵ ּביט י ִָמין ו ְּר ֵאה וְ ֵאין לִ י ַמ ִ ּכיר ָא ַבד ָמנוֹ ס ִמ ֶּמ ִ ּני ֵאין ְצוָ ָחה ִ ּב ְרחֹב ֵֹתינו:ַפח לִ י ָ ֶ ו זָ ַע ְק ִּתי ֵאל:דּ וֹ ֵר ׁש לְ נַ ְפ ׁ ִשי אל ָֹהיו:ֱ יך ְי ָי ָא ַמ ְר ִּתי ַא ָּתה ַמ ְח ִסי ֶחלְ ִקי ֹ� ז ַה ְק ׁ ִש ָיבה ֶאל ִר ָ ּנ ִתי ִ ּכי ַדלּ וֹ ִתי ְמאֹד ַה ִ ּצילֵ נִ י ֵמר:ם:ְ ּב ֶא ֶרץ ַה ַח ּיִי SEFER HAMAAMARIM ָ = יְ יAdo-nay Extrait du Séfer Hamaamarim, édition Beth Loubavitch Les quatre noms qui ont été cités peuvent être traduits dans le service de D.ieu. Avram correspond à ce que l’homme peut réaliser par ses forces propres. Avraham introduit l’aide divine permettant de conduire tous les membres du corps et les cinq sens à servir D.ieu. En ce sens, Avraham se substitue à Avram. Yaacov décrit le service de D.ieu du serviteur et Israël celui du fils. Une tente ne fait qu’entourer alors que l’on s’introduit dans une demeure. Pour participer à répandre cette diffusion et faire une dédicace : [email protected] Psaume 140 (La Menatséa’h) (1) Au chef des chantres, Psaume de David. (2) Délivre-moi, Eternel, d’un homme méchant. Protège-moi des hommes violents, (3) qui conçoivent le mal en leur cœur et, tout au long du jour, se rassemblent pour les guerres. (4) Ils affûtent leur langue comme un serpent. Un venin de vipère est sous leurs lèvres, pour toujours. (5) Eternel, garde-moi de l’impie, protège-moi de l’homme violent, qui envisage de faire trébucher mes pas. (6) Des arrogants m’ont tendu un piège et des cordes. Ils ont étendu un filet le long de la route. Ils me dressent des embûches, en permanence. (7) J’ai dit à l’Eternel : “ Tu es mon D.ieu. Entends, Eternel, la voix de ma supplication ”. (8) D.ieu, mon Maître, puissance de mon salut, Tu recouvres ma tête au jour de mon combat. (9) Eternel, n’exauce pas les souhaits de l’impie. Ne permets pas que son dessein s’accomplisse, de peur qu’il soit rehaussé, pour l’éternité. (10) Que l’iniquité de leurs lèvres retombe sur la tête de ceux qui m’entourent. (11) Que des braises ardentes s’abattent sur eux, que cette iniquité les précipite dans le feu, dans les gouffres desquels ils ne pourront pas se redresser. (12) Que l’homme à la langue perfide ne puisse se maintenir sur la terre. Que l’homme violent soit entraîné dans sa chute par sa propre méchanceté. (13) Eternel, je sais que Tu défends la cause du pauvre, le droit de ceux qui sont dans le dénuement. (14) C’est ainsi que les Justes rendront hommage à Ton Nom, que ceux qui sont droits percevront Ta face. Psaume 141 (Mizmor) (1) Psaume de David. Eternel, je T’ai invoqué. Hâte-Toi à mon secours. Entends ma voix, lorsque je T’appelle. (2) Que ma prière soit considérée devant Toi comme un sacrifice des encens, mes mains tendues en prière comme l’offrande du soir. (3) Eternel, place un garde devant ma bouche, observe la porte de mes lèvres. (4) Ne laisse pas mon cœur se diriger vers ce qui est mauvais, concevoir des complots perfides avec les hommes qui font le mal. Que je ne goûte pas à leurs festins. (5) Que le Juste me réprimande avec bonté et qu’il me corrige, comme de l’huile versée sur la tête. Que ma tête ne le refuse pas. Car, tant que je peux prier, ce sera pour échapper à leur méchanceté. (6) Bien que leurs juges glissaient sur les rochers, bien qu’ils aient entendu à quel point mes paroles étaient agréables, (7) comme le bois moulu et répandu sur la terre, nos ossements ont été dispersés par eux devant le tombeau. (8) Car, vers Toi, D.ieu, mon Maître, j’élève les yeux. Je me réfugie en Toi. Ne répands pas mon âme. (9) Protège-moi du piège qu’ils ont dressé devant moi, des embûches de ceux qui font le mal. (10) Que les impies tombent, tous ensemble, dans leurs propres filets, de sorte que moi, je puisse passer. Psaume 142 (Maskil) (1) Maskil de David, prière quand il se trouvait dans la grotte. (2) Par ma voix, je crierai vers l’Eternel. Par ma voix, j’implorerai l’Eternel. (3) Je déverserai mon propos devant Lui. Je Lui ferai part de ma détresse. (4) Quand mon âme faillit en moi, Tu connais mon chemin. Sur la voie que je veux suivre, ils ont caché un piège contre moi. (5) Observe à ma droite et vois, personne ne veut me connaître. J’ai perdu tout moyen de m’échapper. Nul ne se soucie de mon âme. (6) Je T’ai imploré, Eternel. J’ai dit : “ Tu es mon refuge, ma part dans le pays de la vie ”. (7) Ecoute le chant de ma prière, car j’ai été gravement abaissé. Sauve-moi de ceux qui me poursuivent, car ils sont plus puissants que moi. (8) Fais sortir mon âme du confinement, afin que je puisse louer Ton Nom. Avec moi, les Justes Te couronneront, car Tu me combleras de Tes bienfaits. Psaume 143 (Mizmor) (1) Psaume de David. Eternel, écoute ma prière, entends mes supplications. Par Ta fidélité, réponds-moi avec Ta justice. (2) Ne soumets pas Ton serviteur au jugement, car aucune créature ne pourrait se justifier devant Toi. (3) Car, un ennemi a poursuivi mon âme. Il a broyé ma vitalité sur le sol. Il m’a plongé dans les ténèbres, comme ceux qui sont morts pour l’éternité. (4) Mon esprit défaille en moi. Mon cœur est en proie à la stupeur. (5) Je me souviens des jours d’antan. J’ai médité à toutes Tes actions. Je me suis entretenu des œuvres de Tes mains. (6) J’ai tendu les mains vers Toi. Mon âme Te recherche, pour l’éternité, comme une terre aride recherche l’eau. (7) Réponds-moi promptement, Eternel. Mon âme se consume. Ne me voile pas Ta face, faute de quoi je serai comme ceux qui descendent dans la fosse. (8) Au matin, fais-moi entendre Tes bienfaits, car j’ai placé ma confiance en Toi. Fais-moi connaître le chemin que je dois suivre, car j’ai élevé mon âme vers Toi. (9) Délivre-moi de mes ennemis, Eternel. J’ai caché mes peines à tous, sauf à Toi. (10) Apprends-moi à faire Ta Volonté, car Tu es mon D.ieu. Que Ton esprit bienveillant me dirige sur un chemin égal. (11) Pour Ton Nom, Eternel, Tu m’accorderas la vie. Par Ta justice, tu tireras mon âme de la détresse. (12) Par Ta bonté, Tu feras disparaître mes ennemis. Tu supprimeras tous ceux qui sont hostiles à mon âme, car je suis Ton serviteur. Psaume 144 (Le David) (1) Psaume de David. Béni soit l’Eternel, mon rocher, qui entraîne mes mains à la bataille, mes doigts à la guerre. (2) Il est ma source de bonté, ma forteresse, ma tour, ma sauvegarde, mon bouclier. En Lui, je me réfugie. Il soumet mon peuple à ma domination. (3) Eternel, qui est l’homme pour que Tu le connaisses, le fils d’un mortel pour que Tu t’en préoccupes ? (4) L’homme est comme un souffle, ses jours comme une ombre qui passe. (5) Eternel, incline Tes cieux et descends, touche les montagnes et elles deviendront fumée. (6) Fais briller les éclairs et disperse-les. Envoie Tes flèches et confonds-les. (7) Etends la main d’en haut. Secours-moi et délivre-moi des eaux nombreuses, des mains des étrangers, (8) dont la bouche parle avec fausseté et dont la main droite est une main droite mensongère. (9) D.ieu, j’entonnerai pour Toi un chant nouveau. Je Te célébrerai avec la harpe à dix cordes. (10) C’est Lui Qui accorde le salut aux rois, Qui secourra David Son serviteur, de l’épée du mal. (11) Délivre-moi et libère-moi de la main des étrangers, dont la bouche profère la fausseté et la main droite est une main droite mensongère. (12) Car, nos fils sont comme des plants, poussant largement pendant leur jeune âge, nos filles comme des pierres d’angles, sculptées pour l’édification du palais. (13) Que nos granges soient donc pleines jusqu’en leurs extrémités, regorgeant de provisions d’une moisson à l’autre, que nos troupeaux se multiplient par milliers, par dizaines de milliers, dans nos champs ouverts. (14) Que nos bœufs soient lourdement chargés. Qu’il n’y ait pas de brèche, pas de capture, pas de cris dans nos rues. (15) Heureux est le peuple pour lequel il en est ainsi. Heureuse est la nation dont l’Eternel est le D.ieu. Applications du Beth Loubavitch sur Android et AppStore Grâce au Dvar Malhout en hébreu/français, étudiez en toute tranquilité Inscription pour recevoir le Dvar Malhout chez vous pour tous les jours de la semaine : Tél. : 01.77.38.00.95 - E-mail : [email protected] Site internet : www.dvarmalkhout.org הי ָ פך נ ּו ִ ּכי ְ אך ש ּו ם יו ה ג: ִ ּכי סד ז: ין נָ י ם ה יג ם :ם טז יז נִ י רי ם ה ָה ם
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